• Les découvertes de Mathilde - Chapitre 2 – La complexité de la première approche 

     

    Comment faire pour explorer ce milieu lorsqu’on ne connait personne qui le pratique, qu’on n’y connait presque rien et qu’avec un peu de jugeote on n’a pas forcément envie de se retrouver attachée à poil dans le lit du premier vieux pervers malsain ?

    Découverte-Part III – La complexité de la première approche

    Du coup, la solution la plus simple a été de passer par Internet, et en l’occurrence via le forum SM d’un site plutôt généraliste. Le fait d’être sur un site généraliste et non pas sur un forum spécialisé SM ma laissait au moins l’impression de pouvoir y croiser des gens normaux, et pas trop de détraqués. On est parfois rêveuse à 20 ans.

    J’ai donc ouvert un topic dans lequel je me suis présentée et j’ai expliqué ce que vous avez pu lire précédemment. Soyons clairs, et même si cela m'a été rappelé plusieurs fois je savais qu'en ouvrant ce topic ça allait attirer quelques personnes intéressantes, mais aussi une multitude de « morts de faim ».

    Pour faire simple il y a ceux qui contactent toutes les nouvelles inscrites, avec le même message d'accroche a deux balles et qui ne prennent même pas le temps de regarder qui vous êtes ni ce que vous recherchez... A la limite, ceux-là sont faciles à sortir.

    Après il y a ceux qui ne pensent qu'à vous sauter, mais qui essaient d'habiller ça avec un peu de contexte. Ok chez certain l'habillage dure le temps de 2 messages et le naturel revient aussitôt... Hop, dehors les vilains !

    Il y a tous ceux pour qui avoir envie d'une relation SM se limite à "vient me voir, je vais t'attacher, t'obliger à me sucer et te sodomiser"... en français dans le texte...

    Bref je ne vais pas tous les détailler mais disons que ça représente bien 80-85% des contacts que j'ai pu avoir au début et que j’ai dû rapidement éliminer.

    Découverte-Part III – La complexité de la première approche

    Mais dans le choix des contacts, il y a d’autres problématiques qui peuvent se présenter, comme par exemple celle des provinciaux. Pas parce que ce sont des provinciaux, mais uniquement parce que je suis parisienne et que je me vois mal établir une relation "active" avec quelqu'un qui ne serait pas disponible physiquement. Intégrer cet univers n'est pas forcément simple en soi, alors s'il faut en plus y ajouter les contraintes de l'éloignement, pour moi ça devient éliminatoire. Et certains prennent très mal la raison de ce refus pensant et disant "mais tu sais je peux venir à paris une fois par mois..." ou bien, et même si c'est dit parfois très poliment, juste venir une fois pour tirer un petit coup !

    Après il y a un type de contact, avec une approche un peu plus construite, avec une couche de verni SM. Pas mal d'échanges, parfois mêmes intéressants, jusqu'au moment de passer à l'acte (je parle d'une première rencontre soft autour d'un verre, pas d'une séance)... Ils te chauffent, essayent de mettre la pression, sauf que dès que je leur file un vrai rencart, genre « Puisque t'es parisien aussi, on se retrouve dans une heure dans tel café ? », et là plouf... plus rien, certains ayant l'élégance de supprimer directement le fil de discussion en MP sans prévenir, d'autres invoquant un déplacement de dernière minute en province (alors que 20mn avant ils étaient à paris un dimanche soir à 22h), d'autres encore font un refus d'obstacle, prétextant qu'ils préfèrent prendre des précautions avant de me rencontrer (ouais c'est vrai que de rencontrer une jeune femme de 20 ans dans un bar ou un resto du centre de paris, c'est méga stressant pour un vrai dom !)

    Il y a ceux qui rêvent de se faire passer pour un dom... un discours là encore qui peut passer pour crédible au début, mais qui, dès qu'on commence à leur présenter une fin de non-recevoir se mettent à vous supplier de ne pas les jeter (je vous rappelle qu'on échange des MP depuis 2 ou 3 jours ... rien d'autre) bref une vrai posture de dominant...

    Découverte-Part III – La complexité de la première approche

    Heureusement au travers de tout ça il y a quand même des échanges constructifs et même quelques contacts que je qualifie de pépite. 

    La personne avec qui, dès les premiers échanges, tu comprends qu'elle a exactement la même vision que toi... Celle qui a une vision différente mais qui aborde cette différence de façon constructive, et pas en essayant de te faire entrer dans son moule (non je ne suis pas fétichiste et d'imaginer faire l'amour dans un imperméables en plastique ne m'excite absolument pas, désolée).

    C'est grâce à certains d'entre eux que je vais pouvoir mettre des mots sur mes envies mais aussi remettre (déjà) en cause certaines prises de positions que j'avais mais dont la vision incomplète fait qu'elles étaient totalement fausse (comme l'aspect psychologique des choses).

    Bref, j’ai dû filtrer, trier, élaguer, repousser quand c'était nécessaire (presque toujours avec courtoisie) et prendre le temps d'échanger avec celles ou ceux qui restaient.

     

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  • Les découvertes de Mathilde -Chapitre 1 - Comment en arrive t-on a ces envies ?

     

    Je m'appelle Mathilde, j'ai 20 ans à la date où s'est passée cette découverte (j'en ai maintenant 22 ans à la date de publication de cet article), je mesure 1m69, les cheveux longs chatain, 55kg et je suis parisienne, un vraie, née à paris, et je fais mes études de droit à la fac de Dauphine. 

    Je suis issue d'un milieu qu'on peut qualifier de bourgeoisie parisienne catho. C'est court mais ça a le mérite d'être clair. Je ne vais pas m'étendre sur mon environnement familial, mais il n'est pas sans impact sur mon éducation (plutôt très conservatrice) et sur les personnes qui m'entourent.

    Côté sexe, je n'ai eu que 2 copains sérieux, entendez par là, ceux avec qui la relation était assez sérieuse pour coucher avec eux. Le premier avec qui je suis restée 4 mois, et le second avec qui j'étais encore à ce moment-là, même si ce n'était plus pour très longtemps.

    Depuis un an, et même si, de mon point de vue, il se débrouillait très bien au lit, notre sexualité est devenue quasi routinière. Ca se déroule toujours de la même façon avec un enchaînement caresses, cunni, fellation, pénétration, et avec assez peu de variantes.

    Le problème c'est que mon copain (qui vient du même milieu que moi) se satisfait pleinement de ça et que là où j'ai envie de nouveauté, d'originalité de trucs débridés, lui réponds mariage et bébé :-( On n'est vraiment pas en phase du tout).

    Bref, ça fait partie des raisons pour lesquelles (même si ce ne sont pas les seules, mais les autres relèvent d'avantage de la sphère privée) notre relation tire à sa fin.

    Partant de là, je me suis mise en tête d'explorer des univers dont j'ai été privée jusqu'ici, non pas par absence d'envie mais uniquement parce que la situation ne s'y prêtait pas !

    Il y a peu de temps encore, je ne savais pas exactement vers quoi me diriger, il y a tellement de domaines, de pratiques, d'expériences, de types de relation que j'aimerai découvrir. En fait j'avais volontairement laissé pas mal de portes ouvertes, mais actuellement il me semble quand même que l'orientation la plus marquée soit celle des relations D/S S/M.

    Découverte - Part II -

    Quand je parle d'une orientation D/S S/M, je parle de d'une position plutôt de soumise, même si je trouve que le mot ne colle pas trop à ce que j'imagine. En fait, de ce que j'ai pu lire à différents endroits, je me situe d'avantage dans une position de "dominée" plutôt que de "soumise". J'espère ne pas utiliser les mots dans un sens détourné. C'est à dire que je suis quelqu'un qui a besoin qu'on s'impose par rapport à elle et non pas quelqu'un qui accepte sa condition, ce qui est beaucoup plus proche de mon état d'esprit même dans la vie.

    Je considère pour ma part que dans la notion de dominée, il y a une certaine remise en cause permanente de l'autorité du dom, d'où cette volonté d'avoir une domination de sa part y compris physique. Une dominée qui accepte définitivement sa situation deviendrait par là même une soumise (ce que je ne pense pas être).

    D'un autre côté, je dois avouer que mon niveau de connaissance sur le sujet est le niveau de celle qui glane des infos sur le net, mais qui n'a jamais pu avoir aucune mise en pratique. Par contre, pour avoir vu 50 nuances de gris, mais je concède que je suis probablement complètement tordue quelque part, j'ai trouvé ça complètement enrobé de guimauve dégoulinante... En tous cas assez éloigné de ce que j'imagine, sauf éventuellement si je trouve un Dom milliardaire... Là, je suis prête à revoir ma position (et même toutes les position qu'il souhaitera ;-) )

    Découverte - Part II - Comment en arrive t-on a ces envies ?

    A ce moment-là, lors d'un échange sur un forum, on m'avait conseillé de définir clairement mes attentes pour ne pas être déçue. Sauf que  mes envies en tous cas à première vue étaient basiques et on peut justement parler de la difficulté de formaliser des souhaits et des limites à une activité qu'on ne maîtrise pas. 

    On avait également abordé des problématiques liées à la notion de contrat de soumission et de check list des pratiques partant du principe de ne pas partir avec l'idée qu'il faut tout aimer et vouloir essayer. J'ai eu beau creuser certains points pour essayer de me faire un début de conviction là-dessus, mais c'est encore trop neuf pour me fixer les idées. Et puis je pense qu'entre ma vision aujourd'hui et celle de demain il y aura des choses mouvantes.

    Il y a également l'aspect du type de domination, physique ou cérébrale, qui est souvent revenu dans les discussions. Sur ce point c'est assez claire, domination physique. En fait je conceptualise assez peu les choses, donc les formes de soumissions mentales ou psychologiques ne me parlent pas du tout. Je comprends que cela convienne à certaines, mais franchement en ce qui me concerne, j'ai l'impression de lire un roman que je regarde la façon dont cela se passe, et je n'ai pas envie d'être dans un roman. J'ai juste envie qu'on se serve de moi (désolée si ça peut sembler un peu cru, mais c'est l'image qui m'est venu en rédigeant ma réponse)

    Je ne vois pas pourquoi les deux ne seraient pas dissociables. On peut contraindre quelqu'un physiquement sans exercer de contrainte psychologique. Il y a probablement des effets psychologiques en arrière-plan, mais ce n'est pas le moteur de ce type de domination.

    Découverte - Part II - Comment en arrive t-on a ces envies ?

    Reste la question de la gestion de la douleur. C'est difficile de dire où je positionnerai le curseur étant donné que là encore je n'ai jamais vraiment testé non plus. Ca fait partie de l'ensemble, donc en tous cas je ne l'exclue absolument pas, mais par contre je ne vois pas comment positionner le curseur du niveau de "douleur acceptable".

    Maintenant reste à savoir comment transformer ces écrits en actes ?

     

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  • Présentation

    Changement d'approche... Si on compare à l'expérience très forte et violente vécue par Vanessa, ici on aborde les choses de façon complètement opposées pour découvrir les jeux de la soumission avec Mathilde.

    Mathilde est le 3ème "S" des 4S, en age et en expérience.

    Un point commun, elles étaient toutes les deux pratiquement jeunes et inexpérimentées avant d'entreprendre (ou de subir) cette initiation.

    Pour le reste, je vous laisse juger par vous même.

    Miss L

    Rédac'chef du blog des "4 S".

     

     

    Les découvertes de Mathilde - Préambule

    Bonjour,

    Alors moi c'est Mathilde, et si j'ai décidé de publier mes différentes expériences depuis le tout premier jour (et même avant mon tout premier jour), c'est pour essayer de combler quelque chose qui m'a manqué lorsque j'ai voulu prendre pied dans ce milieu, à savoir un retour d'expérience très concret sur la découverte et l'apprentissage de certaines forme de relation D/S et S/M.

    Découverte - Part I - Préambule

    Mon objectif au travers du récit de cette toute première expérience, mais aussi des récits qui vont suivre, est juste de relater les choses que je découvre, de la façon dont je les perçois, mais aussi les obstacles auxquels je me heurte, en espérant que cela servira éventuellement à d'autres futures candidates.

    Pour bien comprendre ma démarche, qui à la différence de celle de Vanessa que vous avez pu lire dans le blog est tout à fait volontaire et souhaitée de ma part, il va falloir que je parte vraiment du tout tout début...

    J'espère que ça vous intéressera et répondra a certaines de vos questions

     

    Mathilde

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  • Au bout d’un petit moment, une espèce de montagne de muscles type Conan le barbare, 2m de haut, 120kg, habillé d’un pagne et d’un bandeau métallique sur la tête viens s’assoir sur la banquette de mon côté. J’essaie de me déplacer un peu mais en vain vu mon peu de marge de manœuvre.

    Education anglaise - Part VIII - L'entrée de Zorg

    Dans le même temps un couple vient s’asseoir de chaque côté de Kate qui semble surprise mais qui comme moi ne peut rien dire à cause du bâillon.

    Le colosse me fait signe de regarder du côté de Kate. La femme a commencé à lui caresser le dessus de la cuisse sous le regard de son ami (enfin en tous cas j’imagine que c’est son ami ou son mari.). Elle essaye aussi de se débattre (enfin façon de parler) sans plus de succès que moi. Je cherche du regard Ashley ou Sheila dans le public qui est de plus en plus nombreux devant la table, mais je ne les vois pas.

    Pendant ce temps les caresses de la femme se sont faites plus précises sur le haut des cuisses de Kate. Son ami s’est rapproché et commence à enlever les premiers boutons du chemisier de Kate assez lentement. Elle roule un peu des épaules comme si elle voulait l’empêcher, mais là encore sans résultat.

    Il continue jusqu’à faire apparaître ses seins. Ils sont  plus gros que les miens, et en se trémoussant elle n’arrête pas de les faire bouger ce qui semble plaire à l’homme. Je n’arrive plus à voir ou en est la femme mais visiblement ses caresses sont très localisées et Kate continue à pousser des soupirs dont je n’arrive pas à savoir si c’est du plaisir ou du refus, en plus de la salive qui dégouline de son bâillon (oui c’est aussi un des effets du bâillon boule.)

    A ce moment le garçon d’un des deux couples apparaît et viens chuchoter quelque chose à Kate. Je n’arrive pas à entendre mais elle fait oui de la tête. A partir de ce moment là il va lui détacher les mains du mur pour lui rattacher dans le dos pendant que la femme lui détache les chevilles. Ils la font se lever toujours avec son bandeau, son corsage grand ouvert et sa jupe relevée puis je la perds de vue quand ils passent derrière les spectateurs vers une salle protégée par une cage.

    Education anglaise - Part VIII - L'entrée de Zorg

    A ce moment là, je me rends compte que tout le monde porte son regard sur moi et sur le Conan le Barbare. Et franchement je suis loin d’être rassurée d’autant que je ne vois toujours ni Ashley ni Sheila.

    Il se tourne légèrement sur le canapé et soulève son pagne faisant apparaître un sexe comme je n’en avais jamais vu. En fait j’ai toujours cru que les photos de mecs avec des sexes disproportionnés étaient des trucages, mais celui là c’en est visiblement pas un. Il commence à se caresser avec par moment les encouragements des spectateurs, faisant gonfler son engin à une taille que je ne pense même pas pouvoir entrer dans ma bouche (alors je ne vous parle pas du reste).

    Ca dure plusieurs minutes, puis il se lève, toujours encouragé par les spectateurs. Visiblement à ce moment là le spectacle de la salle c’est moi. Par chance je vois Ashley passer devant tout le monde et venir s’asseoir à côté de moi. Elle me dit « J’espère que tu apprécie, ce n’est pas donné à tout le monde d’être le jouet de Korg» (Au moins comme ça je n’ai plus besoin de l’appeler Conan).

    Education anglaise - Part VIII - L'entrée de Zorg

    Il continue de se masturber, et devant les encouragements des spectateurs, Ashley se met en tête de remonter le peu de jupe qu’il me reste, offrant au regard de tout le monde mes parties intimes, puis elle passe ses deux index à l’intérieur de mon bustier et en tirant à peine sur l’élastique, elle le baisse sous mes seins laissant apparaitre mes tétons ornés de mes bijoux ce qui déclenche pas mal d’animation.

    Je me retrouve attachée à un mur, les seins à l’air et le sexe découvert devant une espèce de monstre avec un sexe gigantesque en train de se masturber. J’ai beau faire des hmmmffffffffff en regardant Ashley, elle ne bronche pas.

    Korg se rapproche de moi en poussant de plus en plus de grognements. Au moins avec le bâillon il ne risque pas de me demander de le sucer, mais j’ai compris que son objectif n’était visiblement pas là mais plutôt d’éjaculer sur moi, et vu l’engin c’est une douche que je vais prendre.

    Ses mouvement s’accélèrent, Ashley s’est poussée, le public l’accompagne, il se rapproche pratiquement à me toucher mes yeux ne quittent pas son gland tellement il est gros et plein de veines.

    Il accélère encore et la première giclée sort et atterrit sur la poitrine. Là je suis surprise (mais visiblement pas la seule) car il n’en sort guère plus que d’un sexe classique. S’en suit quelques giclées supplémentaires qui atterrissent sur mes seins puis sur mes cuisses, mais encore dans un volume ridicule par rapport à ce que je m’attendais à recevoir.

    Education anglaise - Part VIII - L'entrée de Zorg

    Applaudissement des spectateurs, et Korg se recule, ajuste son pagne et repars ! ! !

    Le public commence à s’éparpiller et comme par magie, Sheila aussi fait son apparition. 

    Je suis vannée. J’ai été tellement tendue pendant tout ce temps que je ne sens plus mes bras, mes cuisses et mon ventre tellement j’étais tendue. Ashley et Sheila sont mortes de rire en me voyant ainsi.

    Sheila détache mon bâillon pour me laisser reprendre un peu mes esprits. C’est vrai qu’à un moment j’ai eu peur, surtout qu’il m’emmène comme ils ont emmené Kate.

    Une fois que j’ai repris ma respiration, je dis à Ashley qu’ils ont emmené Kate. Elle me répond qu’elle le sait, et que ca faisait partie de sa soirée à elle et à ses amis et elle me demande si j’ai apprécié mon  spectacle privé ? 

    Je suis encore sous le choc et je lui réponds juste que j’ai eu une trouille de tous les diables. 

    Pendant ce temps Sheila m’a détachée et elle me tend une serviette pour m’essuyer. Il faut dire que même si ça n’a pas été la douche crainte ça a quand même coulé partout.

    Sheila m’emmène faire un brin de toilette histoire de reprendre un peu mes esprits, puis on retourne à la table prendre un verre. Pendant ce temps pas mal de gens viennent voir Ashley et Sheila pour leur demander qui je suis, si je suis libre, … mais semblent repartir déçus. Ashley m’explique que Korg est très connu par ici, en raison de son sexe un peu (beaucoup) particulier et de sa musculature, qu’elles avaient spécialement demandée a ce qu’il s’occupe de moi, mais que par principe dans les soirées une de ses restrictions c’est de ne jamais avoir de contact physique avec les personnes . Donc en fait je ne risquais pas grand-chose.

    Education anglaise - Part VIII - L'entrée de Zorg

    Un des garçons qui étaient avec Kate vient voir Sheila pour lui dire de ne pas les attendre. Sheila m’explique que la soirée de Kate va encore être très longue, mais que si je veux on peut rentrer. Je suis complètement out, et j’accepte la proposition en essayant d'imaginer la situation dans laquelle doit se trouver Kate. On va vers la sortie, on repasse au vestiaire où Ashley rend les chaines, on récupère nos affaires, puis on remonte dans la discothèque au premier sous sol. Cette fois c’est plein de chez plein.

    On continue de remonter puis on passe au premier vestiaire où je récupère ma veste et mon portable en échange de mon bracelet (dommage je l’aurais bien conservé en souvenir)

    On sort, et le froid me saisi. J’ai réussi à me remettre à peu près en état aux toilettes (et j’ai fais un pipi qui a battu tous les records de longueur). Et avec le manteau on ne peut pas deviner ce qu’il s’est passé.

    C’est reparti pour un coup de métro sauf qu’il est presque 4h30 et que du coup on va se faire le retour en taxi, ce qui sera plus rapide. Je n’ai pas vu le temps passer. 

    Le taxi nous laisse à l’entrée de la rue, et même si ça n’a pas été long, j’ai cru que j’allais m’endormir pendant le trajet. Heureusement que les rues sont dans un état assez moyen et qu’on a été secouées dans tous les sens.

    On rentre dans l’appart, je retire ma longue veste et le gilet et je vais prendre une bonne douche sous laquelle je suis rejointe par Ashley ;-)

    Pause Dans le canapé, tisane (à plus de 5h du mat il faut bien ça), la même qu’hier soir, puis direction le grand lit que je partagerai encore avec Ashley et Sheila, mais dans une configuration plus classique et plus câline que la veille.

    Réveil difficile dimanche en début d’après midi. Le temps de se faire un petit repas entrecoupé par les aller retours permanents des voisins et des voisines (finalement on s’y habitue), puis retour à St Pancras pour prendre mon Eurostar et rentrer sur Paris. Hé oui, demain matin, le boulot reprend ses droits.

    Voilà, un WE qui m’a beaucoup marqué, probablement aussi parce que tout a été improvisé, mais quoi qu’il en soit, s’il en reste une sensation c’est que j’ai adoré ça… et encore le mot est faible.

    Si vous avez réussi à tenir jusque là et à tout lire, c’est peut être aussi que vous avez un petit côté maso ;-)))

    Je reviendrai probablement avec la suite de mes expériences si celles-ci sont racontables !

     

    Bonne journée

     

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  • Assise dans le canapé, je fais attention car à chaque mouvement ma super jupe s’envolent et vu qu’en dessous… bref vous m’avez compris.

    Education anglaise - Part VII - La soirée commence vraiment

    On passe comme ça une petite heure entre boisson discussion et dance, puis Ashley nous dit qu’il est l’heure de changer de salle pour aller « au dessous ». Je n’ai pas vraiment compris ce qu’elle voulait dire sur le coup, mais deux des couples qui étaient avec nous ainsi qu’une autre fille décident de nous accompagner, les autres n’ayant visiblement pas pris cette « option » pour ce soir.

    On passe dans une troisième salle aussi bruyante que les 2 premières puis on prend un petit couloir jusqu’à une porte  blindée d’au moins 30cm d’épaisseur. Sheila m’explique que les autres salles sont dans les sous sols et que c’est en fait un ancien abri qui servait pendant la dernière guerre, d’où la porte blindée. Le gardien de service contrôle nos bracelets et nous laisse passer. On descend un premier escalier assez raide. Ici le décor est comme dans les films de guerre, du béton gris, avec des tuyaux et des câbles un peu partout.

    On arrive sur une espèce de plateforme où se trouve un nouveau vestiaire. Là il faut laisser tout ce qui est sac à mains et vestes. Bon mon gilet en dentelle n’étant pas considéré comme une veste j’ai le droit de le garder. Déjà que je n’ai pas grand-chose sur le dos.

    Education anglaise - Part VII - La soirée commence vraiment

    Pendant ce temps Ashley négocie avec une des personnes du vestiaire et revient avec une petite caisse en carton. La responsable du vestiaire nous fait passer dans une petite pièce à côté du vestiaire, il faut dire qu’à 8 on bouchait pas mal l’étroit couloir. Là Ashley sort de la caisse un ensemble de chaines en tous genres. Sheila et les deux filles qui sont là en couple (je ne me souviens plus de leurs prénoms) commencent à faire le tri, puis Sheila me dit de venir la voir pendant que les 2 garçons font approcher la troisième fille, Kate, de leurs copines.

    En fait ce sont des chaines avec des clips aux extrémités et elle commence à les fixer aux anneaux de mon collier. Voyant ma surprise, Ashley me dit « Tu vas voir c’est maintenant que ça va devenir vraiment intéressant ». Visiblement Kate semble aussi surprise que moi. D’ailleurs elle porte le même type de collier et de bracelets que moi, chose que je n’avais pas remarqué tout à l’heure dans la pénombre.

    Je me laisse faire sans rien dire, mais au point où j’en suis de toute façon je verrai bien ce qu’elles ont prévu. 

    Une fois les chaines attachées au collier, elle me demande de mettre les mains dans le dos et elle relie deux des chaines du collier à mes poignets et les poignets ensembles dans le dos. Je me retrouve menottée, sachant que Kate a le droit exactement au même traitement. Ashley prend la dernière chaine de mon collier comme une laisse, et donne la boite à un des garçons.

    Education anglaise - Part VII - La soirée commence vraiment

    Maintenant direction l’escalier pour continuer à descendre encore. On passe un sas avec encore des portes en acier, puis on déboule dans une grande pièce. 

    Comment la décrire. C’est une salle assez vaste qui ressemble aux salles des centres de commandement des films, celles où au milieu il y avait une grande table avec la carte du champ de bataille, des ecrans. Sauf que là, la salle est entourée d’un ensemble d’alcôves situées en demi hauteur et que tout autour il y a un grand balcon avec visiblement également des tables. Le centre est occupé par une estrade plutôt encombrée.

    Ce qui me surprend le plus c’est la fréquentation. Je ne suis pas la seule à être enchainée… loin de là, et de ce que j’en comprends rapidement c’est la partie SM du club. Au moins nos tenues n’attirent pas plus l’attention que ça ici.

    Pas question d’aller n’ importe où. Un gardien ultra musclé et vêtu en cuir vient nous voir et indique une table ronde entourée de canapés un peu sur la gauche presque en face de la scène. 

    On va s’assoir mais un des garçons nous indique où avec Kate nous devons nous asseoir. Nous sommes toues les deux placées à un tiers de la table en fait chacune le dos à un des pans de murs. 

    Une fois assise, Ashley détache les mains de mon dos puis passe la chaine d’un de mes poignets dans deux anneaux dans le mur situés un peu au dessus de ma tête et assez écartés, puis vient la fixer à mon second poignet. Du coup je me retrouve, tout comme Kate, attachée au mur les bras écartés un peu vers le haut. 

    Pendant ce temps Sheila fait visiblement le même travail (mais en fait je ne vois pas ce qu’elle fait) au niveau des bracelets de mes chevilles ce qui m’oblige à écarter un peu les jambes, ce qui vue ma tenue me fait monter une bouffée de chaleur.

    Vu que je suis un peu dans le renfoncement, impossible de savoir ce qu’il se passe dans les autres alcôves autour de nous.

    Education anglaise - Part VII - La soirée commence vraiment

    Sheila a à peine terminé que la lumière s’éteint dans la salle et que la scène s’éclaire. La pénombre me va bien, au moins on ne risque pas de me voir.

    Le rideau s’ouvre et on découvre un décor de salle de torture de château médiéval. Il y a tout l’équipement qu’il faut, et rapidement un mec assez musclé arrive sur scène tirant deux filles par les cheveux. Il les attaches à des anneaux en fer et prépare son matériel, tout ça à grand renfort de musique et d’éclairage.

    Je vais vous faire grâce de cette partie du spectacle, mais pour faire court, c’est la première fois que j’assiste en vraie spectatrice à ce genre de scène qui correspond exactement aux vidéos que je regarde régulièrement sur le net.

    Je dois avouer avoir été tellement prise par ce qui ce qui se passait sur la scène que j’en ai oublié ma très curieuse situation. Je n’étais pas à plus de 7 ou 8 mètre et j’avais une vue exceptionnelle pour me rendre compte que tout n’était pas simulé !

    Education anglaise - Part VII - La soirée commence vraiment

    On a ensuite eu le droit à une autre scène avec une dom et une soumise et là je me suis plusieurs fois imaginée dans un vrai château à sa place…

    Je ne sais pas exactement combien de temps ça a duré, mais probablement une bonne heure (je n’ai pas pu mettre ma montre à cause des bracelets et de toutes façons vu ma position je n’aurais pas pu la regarder)

    Le rideau se referme et les lumières se rallument dans la salle. Là je me rends à nouveau compte de ma position. Si pour les bras j’arrive à tenir, le fait d’avoir les cuisses écartées  avec la jupe aussi courte me pousse à essayer de les resserrer mais sans grand résultat. Ca commence à circuler à nouveau dans la salle avec les aller venues au bar, et forcément les gens qui passent devant notre table ne peuvent rien ignorer de ma tenue. Par contre même si on me regarde régulièrement, ça a l’air de ne choquer personne.

    Ashley et Sheila se lèvent ainsi que les deux couples. Un des garçons fouille dans la boite et sort deux baillons boules et un masque noir. On va avoir chacune le droit à la pose d’un bâillon. Je remarque au passage que les boules sont emballées dans un papier jetable, preuve qu’ils nettoient le matériel (c’est con des fois les idées qui peuvent nous venir en tête dans ces moment là quand même) et Kate a aussi le droit au bandeau sur les yeux. Moi pas. 

    Education anglaise - Part VII - La soirée commence vraiment

    Sheila me demande si le spectacle m’a plu. Je lui réponds que oui que j’ai adoré. Elle passe alors une main entre mes cuisses et sors le bout de ses doigts trempés en me disant « oui je vois ! ».

    Elle me fait lécher ses doigts, puis va pour mettre le bâillon. Je lui dis que je voudrais bien aller faire pipi (l’effet des bières bues en début de soirée) mais elle me dit que ce n’est vraiment pas le moment, et elle me pousse la boule du bâillon dans la bouche. Il faut avouer que ces baillons sont terriblement efficaces. Elle le fixe derrière ma tête puis se recule pour me regarder. 

    Bon allez ça va. Je tourne la tête vers Kate qui est dans la même situation que moi mais en plus dans le noir avec le bandeau.

    Là j’entends une des filles proposer d’aller boire un verre au bar, et les voilà tous les 6 s’éloigner de la table. J’ai envie de crier pour leur dire de revenir et de ne pas me laisser seule comme ça, mais tout ce que j’arrive à faire c’est un gros mmmmfffff étouffé qui ne doit pas porter à plus de 30cm.

    Du coup tous les gens qui passent devant la table s’arrêtent pour nous regarder. Autant ca se faisait discrètement quand tout le monde était là, autant là j’ai l’impression de devenir une bête de foire. Kate a de la chance elle ne se rend compte de rien elle.

    Finalement un petit groupe se crée devant notre table, provoquant pas mal de commentaires.

    Education anglaise - Part VII - La soirée commence vraiment

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