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Par lesquatresses dans Vanessa le 29 Avril 2018 à 19:21
Le lendemain matin, j'étais un peu dans le cirage. Je descends dans la cuisine prendre mon petit déjeuner, il n'y avait que Krysten et Agnès de levées.
Je prends mon café sur la terrasse avec elles et quand j'entends Bea arriver, je me lève, fais le tour par le salon, et remonte discrètement dans ma chambre. Là, à ma grande surprise, il y a une tenue de posée sur mon lit. Une robe d'été sans bretelles et un maillot de bain blanc deux pièces.
Ca ne sert à rien que je descende lui dire que je ne veux pas porter cette tenue, je sais comment ça va finir. Du coup, je vais me laver puis en revenant j'enfile ce que Béa m'a donné. Le souci c'est que le maillot est blanc et assez fin, donc si je me baigne, il va devenir transparent, et puis surtout le bas est très échancré et on a retiré la doublure de confort à l'intérieur.
En temps normal je n'aurais pas pu le porter car pas épilée comme il faut, mais avec ce que Bea m'a fait hier, même si ce n’est pas parfait, en tous cas il n'y a rien qui peut dépasser du maillot.
Une fois habillée je descends et je vais sur la terrasse. Il commence à faire bon. Anne et Cédric partent faire des courses, et je profite de l'occasion pour leur demander si je peux aller avec eux. Toutes les sorties sont bonne pour éviter de tomber sur Bea.
Je file prendre mon sac à main en faisant attention de ne pas la rencontrer et je monte dans la voiture. Cédric démarre, Ouf ! Me voilà tranquille pour la matinée. On fait quelques courses, on se ballade un peu et on rentre vers 13h. Le déjeuner est prêt et tout le monde est là. Je vois Bea qui me jette un regard noir mais qui ne me dit rien.
Après le déjeuner, certains proposent d'aller à la plage se baigner et passer l'après midi. Alors que je dis à Agnès que je resterai bien ici à profiter de la piscine je vois Bea qui me fait un discret "non" de la tête. J'ai compris, il faut que je vienne avec eux.
Tout le monde s'éparpille pour aller prendre ses affaires, et je fais de même toujours en essayant d'éviter Bea.
Pour aller à la plage depuis le chalet, on prend un sentier qui passe au bout du jardin, puis qui traverse une grande forêt de pins sur quelques centaines de mètres.
On arrive ensuite dans la zone de dunes qu'il faut traverser, les fameuses dunes avec les naturistes "libertins". Si vous voulez mon avis, c'est un mot poli pour dire obsédés sexuels.
On se trouve un large coin pour faire notre camp de base, et lorsque je retire ma robe pour m'allonger sur ma serviette claire est une nouvelle fois surprise de ma tenue... Minimaliste et presque transparente. Elle m'en fait la remarque ne ratant pas au passage de remarque que rien ne dépasse de l'échancrure du maillot.
Je m'allonge à plat ventre sur la serviette pour me cacher un peu mais il ne faut pas longtemps pour que les autres viennent me chercher pour faire un volley. Tant que je ne me baigne pas, ça va, et heureusement que ma poitrine est assez menue parce que avec ce maillot à chaque pas de course, j'aurais les seins qui sortiraient de tous les côtés sinon.
On se fait donc une partie de volley ou je joue comme une savate, plus attentive a ma tenue qu'au ballon, puis on termine par un bon bain pendant lequel les garçons ont la bonne idée de mettre les filles topless.
Krysten et Bea se laissent faire sans trop résister, Claire leur pose quelques soucis, mais se retrouve rapidement les seins à l'air et j'essaie de profiter du fait qu'ils sont après Agnès pour essayer de me faire oublier en allant nager plus loin (pas question d'envisager sortir de l'eau sans attirer leur attention). Peine perdue. Olaf et Cédric se lancent à ma poursuite et ne mettent pas longtemps à me rattraper et a défaire les nœuds du maillot, ressortant de l'eau en portant victorieusement mon maillot à bout de bras.
Vue l'animation sur la plage je n'ose pas sortir tout de suite. Je fais celle qui continue à nager l'air de rien. Tant que je suis dans l'eau on ne voit pas que je suis nue, mais je suis terriblement mal à l'aise quand même. Finalement c'est Agnès qui va partiellement me sauver. Elle a réussi à récupérer nos deux bas de maillots et me rapporte le mien.
Visiblement, le fait d'être sortie nue de l'eau ne l'a pas dérangé, et là de rester les seins à l'air non plus. Elle nage jusqu'à moi et me donne le maillot. Petit soucis, en me l'enlevant ils ont défait les nœuds sur les côtés et ce n'est pas simple de les refaire quand on est balloté dans les vagues.
Je la remercie. Finalement on n’a pas trop eu le temps de discuter beaucoup hier et avec ce qui m'est arrivé j'étais plutôt déstabilisée.
Elle me demande si ca va. Je lui dis que je n'ai pas l'habitude de me retrouver nue dans l'eau et encore moins d'envisager en sortir les fesses à l'air. Elle rigole et me dit qu'il ne faut pas que je me laisse impressionner. Ici tout le monde a l'habitude de voir des naturistes et personne n'y fait attention et puis qu'avec le style de mon maillot de toute façon il ne fallait pas que je m'attende à pouvoir cacher grand chose. Je me retiens de lui dire que c'est un maillot de Bea… Sauf que moi, si, j'y fais attention...
Bon ce n’est pas tout, mais j'ai à peu près réussi a enfiler le bas, il faudra juste que je refasse les nœuds plus tard, quand au haut il ne faut pas trop que je compte le récupérer. Du coup je sors de l'eau avec Agnès et on file vers nos serviettes.
Je garde mes bras sur ma poitrine, mais en arrivant près du groupe, Claire me lance
" - Fais attention, ils ont tellement peu l'habitude d'être dehors qu'ils vont s'enrhumer" provoquant l'hilarité générale.
Je récupère quand même mon haut de maillot roulé en boule sur la serviette. Agnès qui est allongée à côté de moi me dit
" - J'ai vu que tu te rasais totalement. C'est agréable de sentir l'eau entre ses jambes hein ?"
Un peu gênée, je me met à bafouiller
"- Heu oui, enfin, je sais pas trop...
- Ca fait longtemps que tu te rase ?
- Non c'est la première fois en fait
- Ah bon ? Et tu ne bronze jamais à poil je présume ?
- Non jamais
- Si tu veux essayer demain on va dans un endroit tranquille où il n'y a personne juste toutes les deux. Je connais tous les coins tranquilles
- Heu non je ne crois pas que je pourrais
- Ok mais si tu préfère rester avec les vieux.
- On en reparlera demain."
Sur ce l'après midi se poursuit plutôt calmement jusqu'au moment où tout le mode décide de rentrer prendre les douches au chalet et voir le programme de la soirée.
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Par lesquatresses dans Vanessa le 27 Avril 2018 à 10:59
Bea m'appelle.
« -Bon alors tu viens ? »
Je me dépêche de la rejoindre mais je marche en essayant de ne pas faire de grands pas pour éviter que la robe se soulève. Je monte dans la voiture et par réflexe je tire sur le bas de la robe
« - Hé relax il n'y a que nous ici et personne ne sait que tu ne portes pas de culotte.
- Oui mais je n’aime pas ça, ça pourrait se voir et j'aurais l'air de quoi. Et on voit que je n’ai pas de soutif.
- Ca oui, on le voit, mais c'est ça qui est mignon... Pour la culotte, c'est super de savoir que tu n'as rien. Tu vas voir quand tu vas sentir l'air passer entre tes cuisses »
On fait la route jusqu'à Dax et on retrouve toute la bande qui est déjà installée à la terrasse d'un café. Quand on arrive, on se fait chambrer pour notre retard et très vite j'ai le droit à des remarques sur ma tenue... Sexy, coquine, on ne s'attendait pas a ça de toi... Bea vient à mon secours en expliquant que c'est elle qui m'a coachée. Quelle Salope !
Je m'assois sur une des chaises basses, mais je ne sais pas comment me mettre pour ne pas risquer qu'on voit que je ne porte pas de dessous. Finalement les discussions reprennent et on m'oublie un peu. Il n'y a que Thomas qui n'arrête pas de jeter des coups d'œil vers moi ce qui me met mal à l'aise. Est-ce que Bea lui a dit quelque chose ? Pendant qu'on va vers le resto, Claire s'approche de moi et me dit
« - Et bien dis donc, tu es venu chasser les males ? Je ne t'avais jamais vue dans ce genre de tenue.
- C'est Béa qui me l'a prêtée.
- Oui mais de là à ne pas mettre de soutif avec cette robe, tu te dévergonde. »
Je pique un fard immédiatement. Avec l'air j'ai l'impression que mes tétons ressortent de 3cm et qu'on ne voit que ça.
« - Si maman te voyait comme ça elle ferait un infarctus
- Bon ça va, je n’ai pas envie de parler de ça. Est-ce que je te parle du fait que tu as montré tes seins à tout le monde pendant le jeu après déjeuner moi ?
- Ok Ok... »
Le reste de la soirée se passe normalement en dehors de mon impression de malaise d'être dans cette tenue. Pas la moindre allusion a ce qui s'est passé de la part de Bea.
On continue la soirée en allant dans un bar du centre-ville puis on va au feu d'artifice et au bal, mais pour ma part je passe le plus clair de mon temps à rester assise toujours pour me préserver de ce risque de me montrer surtout en dansant.
Vers 3h du matin on rentre au chalet.
Je suis revenue avec Claire et Fabrice pour ne pas avoir a me retrouver encore avec Bea. Quand on arrive au chalet les autres sont déjà là. Je descends de la voiture, je rentre dans l'entrée et là Bea m'appelle. Merde, moi qui cherchait à l'éviter.
Je pense être sauvée par l’arrivée de Claire et Fabrice, mais ils montent directement au premier nous lançant un « bonne nuit » rapide. Bea me fait entrer dans le salon
« -Alors ta soirée s'est bien passée ?
- Pas vraiment non.
- Dommage moi je t'ai trouvée toute en beauté avec ma robe. D'ailleurs, il faudra que tu penses à me la rendre.
- Je monte me changer et je te la redescends tout de suite.
- Non, tu vas me la rendre tout de suite !
- Là maintenant ?
-Oui ! Dépêche-toi je n'ai pas que ça à faire.
- Mais il y a du monde...
- Je compte jusqu'à 3, et après, clic... je publie.
- Non c'est bon je te la rends »
J'enlève la robe, essayant par réflexe de cacher mes seins et mon sexe de mes mains et je la tends à Bea.
« - Bien. Tu peux aller te coucher »
Je ne réponds rien et je monte au premier en essayant de ne pas faire trop de bruit, juste vêtue de mes tongs.
J'écoute surtout pour savoir si quelqu'un est sorti de sa chambre. En plus ma chambre est au second.
Il n'y a pas de bruits, alors je me risque sur le palier et je me mets à courir pour aller au second au moment où j’entends le bruit une porte en haut. Je suis prise d'un petit moment de panique. Si jamais c'est quelqu'un qui veut descendre je n'ai nulle part où me cacher. J'arrête même de respirer puis j'entends une nouvelle porte qui s'ouvre et se referme.
Visiblement quelqu'un sortait de la salle de bain et rentrait dans sa chambre
Je monte doucement, je regarde. Personne!
Je me mets à courir jusqu'à ma chambre, j'entre et je referme vite la porte derrière moi. Je regarde mais il n'y a pas de verrou ni de clé. Je mets la chaise du bureau coincée derrière la porte et je m'assois sur le lit. Là je fonds en larmes.
Mais qu'est-ce qu'il m'arrive. Qu'est-ce que j'ai fait pour mériter ça. Je ne lui ai rien fait à elle. Comment je vais faire d'ici la fin du WE. Impossible de l'éviter tout le temps.Je dois avouer avoir passé une très mauvaise nuit, m'attendant à la voir surgir ou bien Françoise pour me faire remonter dans la chambre du haut.
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Par lesquatresses dans Vanessa le 27 Avril 2018 à 09:32
Je prends conscience de la situation et je réalise ce qu'elles viennent de me faire. Je ne dis rien, je prends le petit tas des restes de mes vêtements et je descends à l'étage en dessous dans ma chambre. Je suis encore sous le choc. Je suis tellement dégoutée que je mets mes vêtements, ou du moins ce qu’il en reste, dans la poubelle. Jamais je ne pourrais les reporter
Je prends des affaires propres une serviette et je vais dans la salle de bain. Je prends une douche et j'y reste un temps infini en me frottant comme une folle comme si je pouvais laver tout ce qu'elles m'ont fait subir.Mes seins sont encore douloureux lorsque je passe le simple jet de la douche dessus, mais ce qui me trouble le plus c'est de devoir laver mon sexe rasé. Je ne l'avais jamais vu comme ni même imaginé en fait. Je le lave et le relave pour effacer toute cette substance que j'ai sécrétée contre mon gré. Jamais je n'aurais dû mouiller comme ça, et encore moins avoir deux orgasmes. Mais qu'est-ce qui a bien pu m'arriver.
Je sors de la douche, me sèche, enfile des vêtements propres et je retourne dans ma chambre. Alors que je vais me coiffer je vois une enveloppe posée sur le lit. Mais qu'est-ce qu'elle fait là? Ce n'est pas à moi. Je la prends, regarde dedans et je sors une série de photos.
Ce sont des photos de moi, où on me voit en train de lécher et sucer le gode, en train de me faire prendre... Je pique une colère noire et je sors de la chambre en furie pour aller retrouver Bea puisque ca ne peut que venir d'elle. Je l trouve dans le bureau à son ordi
« -putain mais c'est quoi encore ces conneries, ça ne vous a pas suffi tout à l'heure
- calme toi, c'est juste des photos
- me calmer avec ces merdes, non mais tu me prends pour qui. Je vais les filer aux flics et leur dire ce que vous m'avez fait
- ben voyons... et tu vas leur dire quoi, que ce n'est pas toi en train de sucer ce gode. Regarde bien la photo, on a même l'impression que tu y prends plaisir... Et celle-là, si on ne sait pas que tu étais attachée, on a juste l'impression que tu écartes les jambes, comme une grosse cochonne, ... Alors maintenant tu vas m'écouter. Soit tu fais à la lettre ce que je te dis, soit, à la moindre incartade je publie toutes ces photos sur internet, et crois-moi tu vas vite devenir célèbre
-Mais t'es malade ou quoi, pas question, vous avez déjà...
-Ok tu l'auras voulu, regarde ! »
Sans me laisser finir ma phrase, Béa clique avec sa souris. Je m'approche de l'écran et je vois une photo de moi nue avec le gode dans mon sexe. La photo a été coupée de façon qu'on ne puisse pas voir ma tête, mais je sais que c'est moi.
En quelques secondes les commentaires arrivent en direct. Et franchement ils sont corsés.
« - Ok retire la tout de suite, t'as gagné.
- Ah non tu n'as pas compris. Ta photo elle est sur le net, alors impossible désormais de l'enlever
- mais je ne veux pas qu'on me voit à poil sur internet. Qu'est-ce que les autres vont penser
- Ecoute, sur celle-là, personne ne peux te reconnaitre, mais si tu la ramène encore une fois, je te promets que les suivantes, on verra ton joli minois, et quand ça arrivera dans ton école ou chez tes amis, crois-moi ça fera l'effet d'une bombe. »
Je ne sais plus où je suis. Mes jambes tremblent, j'ai la tête qui tourne. Je ne veux pas qu'on me voit comme ca. C'est humiliant. Même avec la tête masquée
Je suis sûre qu'on peut me reconnaitre.« - Bon maintenant va te préparer on part dans 30mn. Tu as une tenue sur le lit. Met là pour ce soir
- une tenue ?
- Ne pose pas de questions, et fait ce que je te dis, compris ?
- Ou d'accord
- Ah et bien sûr, si tu parles de quoi que ce soit, les photos seront publiées automatiquement...
- Oui Oui j'ai compris. »
Je remonte dans ma chambre, toujours avec mes photos à la main. Je me dis qu'il ne faut pas que quelqu'un les trouve et je les cache dans le fond de ma valise en espérant que personne n'ira fouiner dedans. Je n'ose pas les jeter à la poubelle parce que quelqu'un pourrait tomber dessus.
Sur le lit il y a une petite robe d'été, bleue clair avec de petites fleurs, assez légère, avec de fines bretelles mais qui ne m’arrive même pas à mi cuisses. Si Bea m'a dit de la porter j'ai intérêt à le faire mais ce n'est pas du tout ce que j'ai l'habitude de porter ni même ce que j'aime porter.
Je sors des sous-vêtements propres et j'enfile la robe. Mon impression se confirme, je ne suis pas du tout à l'aise avec ce genre de tenue. Je sors un gilet léger pour mettre dessus, mais pour les jambes je ne peux rien faire. Je prends mon sac et je redescends. Bea est dans la cuisine. Quand je passe elle m'appelle
« - Vanessa, viens me voir »
Je rentre dans la cuisine
« - C'est quoi cette tenue
- ben c'est la robe que tu as mise sur mon lit.
- La robe oui mais le reste
- c'est juste un gilet au cas où j'ai froid ce soir
- Fous toi de ma gueule pendant que tu y es. Je t'ai donnée une robe donc tu ne portes que la robe c'est clair.
- oui c'est clair
- Donne-moi le reste »
J'enlève le gilet et je lui donne
« - J'ai dit donne-moi le reste
- je te l'ai donné
- tu es sure ?
- Oui, je n'ai rien pris d'autre »
Elle s'approche de moi et tire une bretelle de mon soutien-gorge
« -Et ça ?
- C'est mon soutif
- Et je te l'ai donné ?
- Non, c'est un des miens
- Alors enlève-le
-Hein, mais tu ne ... Aïe ! »
Bea vient juste de m'attraper le bout du sein et de le tordre violemment
« - Tu veux vraiment que je publie tes photos ?
- Non non, attends je l'enlève »
Je me tortille pour l'enlever sans enlever la robe
« -Oh tu sais te gêne pas, je sais comment tu es faite maintenant »
Je ne réponds pas à sa remarque et je fini d'enlever le soutif que je lui tends
« - Tu vois quand tu veux... Il faut juste t'expliquer longtemps. Bon allez le reste maintenant
- Tu veux dire ...
- Ta culotte vite »
Comme elle s'approche de moi je lève la robe et fais rapidement glisser ma culotte le long de mes jambes. J'attrape la culotte et je la lui donne
« - Parfait, maintenant on peut y aller »
Je suis pétrifiée sur place. Déjà que cette robe est terriblement courte, mais sans sous-vêtements, tout le monde va le voir. Et je ne parle pas du haut, on voit mes tétons qui pointent sous le tissus léger
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Par lesquatresses dans Vanessa le 20 Mars 2018 à 10:54
Bascule - Chapitre 10 - De l'autre côté ...
Bea farfouille au niveau des sangles des pieds sans que je puisse voir ce qu'elle fait, puis elle dit à Françoise de détendre les sangles de mes bras.
Je n'ai pas le temps d'en profiter car au fur et à mesure que les sangles se détendent au niveau de mes bras, Béa me tire vers le bas du lit ce qui fait que j'ai toujours les bras tendus.
Elle tire mes pieds hors du lit puis continue de me faire glisser jusqu'au niveau du bassin et me fait mettre les pieds par terre. En quelques instants je sens la tension sur mes chevilles de chaque côté.
Elle a dû déplacer les sangles pour qu’elles passent au pied du lit. Je me retrouve sur le ventre pliée en deux, les pieds posés par terre et le buste couché sur le lit. Des claques tombent sur mes fesses offertes et je sens à nouveau le gode entrer en moi. Je ne dis plus rien,
Visiblement c'est Françoise qui me pénètre car Béa apparait devant moi. Elle porte une ceinture avec un sexe d'homme dessus. Elle m'attrape la tête et me force à sucer le sexe qu'elle me présente. Cette fois je le fais sans rechigner, j'ai trop peur.
« - Vas-y suce le bien, sinon ça va te faire tout drôle »
Je ne comprends pas ce qu'elle veut dire, mais je fais comme elle me dit.
« - Ca devrait aller comme ça. »
Elle se recule et retourne rejoindre Françoise qui a sorti le gode qu'elle avait mis en moi. Je sens des doigts qui me fouillent et qui malaxe mon vagin puis je sens que les doigts se dirigent vers mon petit trou. Encore une fois, je crie d'un seul coup
« -Non ! Non ! Pas ça je vous en prie, je suis vierge de ce côté-là, arrêtez, pas ça !
- et bien tu ne vas plus l'être longtemps. »
Je me sens deux mains qui se mettent dans la raie de mes fesses, qui me les écartent et je me contracte
« -Tu ne devrais pas faire ça, sinon ça va effectivement te faire mal... Laisse-toi aller »
En parlant je sens un doigt qui tourne autour et d’un seul coup elle le rentre dedans
« - Nooonnnnn
- Tais-toi, et desserre toi sinon je vais te déchirer »
Je sens quelque chose de froid couler sur mes fesses puis un massage et rapidement je sens le sexe de sa ceinture qui appuie entre mes fesses. Des mains écartent à nouveaux mes fesses fermement. J'essaie de me détendre pour ne pas avoir mal et je sens le bout du sexe qui rentre en moi
Je crie une fois encore non, non, pas ça mais je le sens qui rentre de plus en plus profond puis qui commence à ressortir avant de rentrer à nouveau.
Rapidement elle se met à faire des aller retours.. J'ai mal, ce n’est pas insupportable physiquement parlant mais j'ai mal et j'ai honte d'être dans cette situation-là.
A ce moment-là je sens quelque chose qui pénètre mon vagin en même temps. Les deux se mettent à faire des aller retours de plus en plus rapide et je sens des doigts qui cherchent a attraper mon petit bouton.
Tout s'accélère la douleur, la chaleur, des décharges électriques, je ne sais plus ce que je fais et je perds le contrôle de moi dans un orgasme comme j'en ai jamais eu avant.
Au bout d'un moment je sens les objets qui sortent de moi
« -Et bien dis donc pour quelqu'un qui n'aime pas ça tu as drôlement pris ton pied »
je suis éreintée, je n'ose pas répondre quoi que ce soit, j'ai du mal a reprendre mon souffle et je suis complètement trempée. A peine le temps de récupérer qu'à nouveau je sens qu'on me pénètre à nouveau. Je ne sais pas combien de temps ça a duré mais un second orgasme est venu, presque aussi violent que le premier, et là je perds conscience.
Lorsque je reprend mes esprits, je suis toujours nue sur le lit, mais je suis détachée. Bea est là mais pas Françoise. Elle est en train de finir de ranger la chambre.
Allez dépêche-toi d'aller prendre une douche et de te changer on ne va pas tarder à aller rejoindre les autres.
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Par lesquatresses dans Vanessa le 16 Mars 2018 à 07:32
Bascule - Chapitre 9 - Première bordée !
Sans attendre les consignes de Bea, Françoise se met à me malaxer le ventre puis elle descend vers mon sexe et rentre deux doigts à l'intérieur ce qui me provoque encore une crispation.
Elle fait des allers retours, sortant ses doigts régulièrement pour les lécher. Je n'ose même plus les regarder, j'ai l'impression de n'être qu'un morceau de viande avec lequel elles jouent, et pourtant je coule comme si j'étais excitée, mais je ne le suis pas ce n’est pas possible, ce n’est pas ce que je veux.
Bea s'approche de moi et me retire le bâillon. A peine l'a-t-elle enlevé que je leur hurle d'arrêter, que je ne veux pas, qu'elles me détachent, que je ne dirai rien à personne
" -il manquerait plus que tu ailles raconter ça à tout le monde" me répond Françoise
Bea me dit,
"- Si tu veux qu'on te détache il va falloir que tu fasses bien tout ce que je te demande, d'accord ?
- Oui tout ce que tu voudras "
Elle sort alors de derrière elle un gode très réaliste et assez gros. Elle me dit de le sucer comme si c'était le sexe de mon petit copain. Quand elle l'approche de ma bouche j'ai un mouvement de recul mais aussitôt elle attrape un de mes seins et me tord une nouvelle fois le téton ce qui provoque un cri de douleur.
"-Allez ne fait pas ta mijaurée, et donne un peu de plaisir à ce joli jouet."
Je m'exécute pendant que Béa lui fait faire des va et viens de plus en plus profonds dans ma gorge
"-Vas-y lèche le avec amour maintenant"
Là encore je fais ce qu'elle me dit
"-Tu vois quand tu veux ", puis elle se retourne vers mon bas ventre et le pose juste au début de ma fente.
Je crie "-non, non pas ça s'il te plait "
Mais elle commence à le faire circuler sur mon sexe trempé, et à appuyer sur mon petit bouton
"-Hmmm on dirait qu'il aime ça lui aussi, tu as vu comment il est gonflé"
Avant que j'ai le temps de répondre elle rentre le gode d'un coup sec en moi. Je pousse un cri
"-oh tu peux crier la pièce est insonorisée et il n'y a pas de voisins à moins d'un kilomètre."
Elle fait des allers retours en moi. Je le sens rentrer profondément en moi et je ne peux rien faire pour l'en empêcher. Pendant ce temps Françoise est revenue vers moi et malaxe mes seins, tirant et pinçant mes tétons à la limite du supportable.
"-Dis donc c'est vrai que des fontaines comme ça on en a pas souvent. Le lit est trempé. Voyons voir si ... j'ai une autre idée."
Elle murmure quelque chose à l'oreille de Françoise, puis elles viennent de chaque côté du lit. Françoise attache une nouvelle sangle à la gauche du lit et attache mon poignet droit, puis fait l'inverse avec le poignet gauche pendant que Bea fait pareil avec mes chevilles.
Une fois fait, elles détachent les sangles d'origine. Comme elles n'ont pas tenues les nouvelles sangles j'essaye de me lever mais j'ai a peine le temps de faire le mouvement que Françoise me plaque sur le lit et passant une main sous moi me retourne à moitié.
Je sens les sangles qui se tendent me forçant à terminer le mouvement et je me retrouve toujours écartelée mais sur le ventre maintenant.
"- Et voilà, facile non ?"
Alors que je relève la tête pour voir ce qu'elles veulent faire Béa me donne des coups avec la cravache sur les fesses pendant que Francoise fait des photos
"- Ca c'est pour t'apprendre à avoir essayer de te relever sans autorisation."
J'ai mal, ça me brûle, et Françoise y ajoute plusieurs claques qui accentuent la sensation de douleur.
"-Regarde ces jolies fesses, ce serait dommage de passe à côté, non ?
- Ah oui tu as entièrement raison"