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Par lesquatresses le 20 Mars 2018 à 10:54
Bascule - Chapitre 10 - De l'autre côté ...
Bea farfouille au niveau des sangles des pieds sans que je puisse voir ce qu'elle fait, puis elle dit à Françoise de détendre les sangles de mes bras.
Je n'ai pas le temps d'en profiter car au fur et à mesure que les sangles se détendent au niveau de mes bras, Béa me tire vers le bas du lit ce qui fait que j'ai toujours les bras tendus.
Elle tire mes pieds hors du lit puis continue de me faire glisser jusqu'au niveau du bassin et me fait mettre les pieds par terre. En quelques instants je sens la tension sur mes chevilles de chaque côté.
Elle a dû déplacer les sangles pour qu’elles passent au pied du lit. Je me retrouve sur le ventre pliée en deux, les pieds posés par terre et le buste couché sur le lit. Des claques tombent sur mes fesses offertes et je sens à nouveau le gode entrer en moi. Je ne dis plus rien,
Visiblement c'est Françoise qui me pénètre car Béa apparait devant moi. Elle porte une ceinture avec un sexe d'homme dessus. Elle m'attrape la tête et me force à sucer le sexe qu'elle me présente. Cette fois je le fais sans rechigner, j'ai trop peur.
« - Vas-y suce le bien, sinon ça va te faire tout drôle »
Je ne comprends pas ce qu'elle veut dire, mais je fais comme elle me dit.
« - Ca devrait aller comme ça. »
Elle se recule et retourne rejoindre Françoise qui a sorti le gode qu'elle avait mis en moi. Je sens des doigts qui me fouillent et qui malaxe mon vagin puis je sens que les doigts se dirigent vers mon petit trou. Encore une fois, je crie d'un seul coup
« -Non ! Non ! Pas ça je vous en prie, je suis vierge de ce côté-là, arrêtez, pas ça !
- et bien tu ne vas plus l'être longtemps. »
Je me sens deux mains qui se mettent dans la raie de mes fesses, qui me les écartent et je me contracte
« -Tu ne devrais pas faire ça, sinon ça va effectivement te faire mal... Laisse-toi aller »
En parlant je sens un doigt qui tourne autour et d’un seul coup elle le rentre dedans
« - Nooonnnnn
- Tais-toi, et desserre toi sinon je vais te déchirer »
Je sens quelque chose de froid couler sur mes fesses puis un massage et rapidement je sens le sexe de sa ceinture qui appuie entre mes fesses. Des mains écartent à nouveaux mes fesses fermement. J'essaie de me détendre pour ne pas avoir mal et je sens le bout du sexe qui rentre en moi
Je crie une fois encore non, non, pas ça mais je le sens qui rentre de plus en plus profond puis qui commence à ressortir avant de rentrer à nouveau.
Rapidement elle se met à faire des aller retours.. J'ai mal, ce n’est pas insupportable physiquement parlant mais j'ai mal et j'ai honte d'être dans cette situation-là.
A ce moment-là je sens quelque chose qui pénètre mon vagin en même temps. Les deux se mettent à faire des aller retours de plus en plus rapide et je sens des doigts qui cherchent a attraper mon petit bouton.
Tout s'accélère la douleur, la chaleur, des décharges électriques, je ne sais plus ce que je fais et je perds le contrôle de moi dans un orgasme comme j'en ai jamais eu avant.
Au bout d'un moment je sens les objets qui sortent de moi
« -Et bien dis donc pour quelqu'un qui n'aime pas ça tu as drôlement pris ton pied »
je suis éreintée, je n'ose pas répondre quoi que ce soit, j'ai du mal a reprendre mon souffle et je suis complètement trempée. A peine le temps de récupérer qu'à nouveau je sens qu'on me pénètre à nouveau. Je ne sais pas combien de temps ça a duré mais un second orgasme est venu, presque aussi violent que le premier, et là je perds conscience.
Lorsque je reprend mes esprits, je suis toujours nue sur le lit, mais je suis détachée. Bea est là mais pas Françoise. Elle est en train de finir de ranger la chambre.
Allez dépêche-toi d'aller prendre une douche et de te changer on ne va pas tarder à aller rejoindre les autres.
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Par lesquatresses le 16 Mars 2018 à 07:32
Bascule - Chapitre 9 - Première bordée !
Sans attendre les consignes de Bea, Françoise se met à me malaxer le ventre puis elle descend vers mon sexe et rentre deux doigts à l'intérieur ce qui me provoque encore une crispation.
Elle fait des allers retours, sortant ses doigts régulièrement pour les lécher. Je n'ose même plus les regarder, j'ai l'impression de n'être qu'un morceau de viande avec lequel elles jouent, et pourtant je coule comme si j'étais excitée, mais je ne le suis pas ce n’est pas possible, ce n’est pas ce que je veux.
Bea s'approche de moi et me retire le bâillon. A peine l'a-t-elle enlevé que je leur hurle d'arrêter, que je ne veux pas, qu'elles me détachent, que je ne dirai rien à personne
" -il manquerait plus que tu ailles raconter ça à tout le monde" me répond Françoise
Bea me dit,
"- Si tu veux qu'on te détache il va falloir que tu fasses bien tout ce que je te demande, d'accord ?
- Oui tout ce que tu voudras "
Elle sort alors de derrière elle un gode très réaliste et assez gros. Elle me dit de le sucer comme si c'était le sexe de mon petit copain. Quand elle l'approche de ma bouche j'ai un mouvement de recul mais aussitôt elle attrape un de mes seins et me tord une nouvelle fois le téton ce qui provoque un cri de douleur.
"-Allez ne fait pas ta mijaurée, et donne un peu de plaisir à ce joli jouet."
Je m'exécute pendant que Béa lui fait faire des va et viens de plus en plus profonds dans ma gorge
"-Vas-y lèche le avec amour maintenant"
Là encore je fais ce qu'elle me dit
"-Tu vois quand tu veux ", puis elle se retourne vers mon bas ventre et le pose juste au début de ma fente.
Je crie "-non, non pas ça s'il te plait "
Mais elle commence à le faire circuler sur mon sexe trempé, et à appuyer sur mon petit bouton
"-Hmmm on dirait qu'il aime ça lui aussi, tu as vu comment il est gonflé"
Avant que j'ai le temps de répondre elle rentre le gode d'un coup sec en moi. Je pousse un cri
"-oh tu peux crier la pièce est insonorisée et il n'y a pas de voisins à moins d'un kilomètre."
Elle fait des allers retours en moi. Je le sens rentrer profondément en moi et je ne peux rien faire pour l'en empêcher. Pendant ce temps Françoise est revenue vers moi et malaxe mes seins, tirant et pinçant mes tétons à la limite du supportable.
"-Dis donc c'est vrai que des fontaines comme ça on en a pas souvent. Le lit est trempé. Voyons voir si ... j'ai une autre idée."
Elle murmure quelque chose à l'oreille de Françoise, puis elles viennent de chaque côté du lit. Françoise attache une nouvelle sangle à la gauche du lit et attache mon poignet droit, puis fait l'inverse avec le poignet gauche pendant que Bea fait pareil avec mes chevilles.
Une fois fait, elles détachent les sangles d'origine. Comme elles n'ont pas tenues les nouvelles sangles j'essaye de me lever mais j'ai a peine le temps de faire le mouvement que Françoise me plaque sur le lit et passant une main sous moi me retourne à moitié.
Je sens les sangles qui se tendent me forçant à terminer le mouvement et je me retrouve toujours écartelée mais sur le ventre maintenant.
"- Et voilà, facile non ?"
Alors que je relève la tête pour voir ce qu'elles veulent faire Béa me donne des coups avec la cravache sur les fesses pendant que Francoise fait des photos
"- Ca c'est pour t'apprendre à avoir essayer de te relever sans autorisation."
J'ai mal, ça me brûle, et Françoise y ajoute plusieurs claques qui accentuent la sensation de douleur.
"-Regarde ces jolies fesses, ce serait dommage de passe à côté, non ?
- Ah oui tu as entièrement raison"
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Par lesquatresses le 15 Mars 2018 à 07:37
Bascule - Chapitre 8 - Débroussaillage
"- Dis-moi, ça semble être la forêt vierge là-dedans. Visiblement son esthéticienne ne doit pas faire beaucoup d'affaires avec elle
- On va bien voir. Par contre vu comment son bermuda est serré, on ne pourra pas passer de nouvelles sangles dedans comme pour la chemise.
-et ce serait dommage de couper ce petit short
- attends on va le faire à l'ancienne"
Elle va une nouvelle fois vers l'armoire et revient vers moi.
"- Ecoute on va détacher tes jambes une par une et si jamais tu essaies de refaire le coup des bras, je te promets que ça va mal aller. Vas-y détend les sangles sans la détacher complètement juste pour qu'elle puisse plier les jambes."
Je fais ce qu'elles me disent mais quand Françoise attrape mon bermuda pour le faire glisser c'est plus fort que moi et je me remets à gigoter. Elle tire d'un coup sur les sangles pour les retendre et dans le même temps je ressens une vive douleur au niveau de la poitrine.
"- Je t'avais prévenue. Bouge encore et le prochain coup sera plus fort et mieux situé."
Bea à une longue cravache à la main et m’en a donné un coup juste sur le sein. La douleur est encore là et ça me brule mais je ne peux même pas me frotter.
"-On recommence mais fais bien attention a toi si tu ne veux pas que je te mette la poitrine en sang."
Françoise redesserre les sangles et me fait plier les jambes. Je suis tellement terrifiée que je la laisse faire me remettant à sangloter. Je sens le bermuda qui glisse jusqu'à mes pieds
"- Laisse-lui sa culotte pour le moment"
Françoise détache le crochet d'un de mes pieds, retire la jambe du bermuda puis remet le crochet. Bea retourne faire des photos pendant que Françoise fait la même chose pour l'autre jambe, puis retend les sangles. Je me retrouve à nouveau totalement écartelée
"- Tu as vu cette fourrure, dis donc elle ne doit pas avoir froid l’hiver"
Bea revient et commence à caresser l'intérieur de mes cuisses. Je frissonne de peur quand elle approche de ma culotte, et je la supplie intérieurement de ne pas aller plus loin. Impossible de communiquer ou d'essayer de la raisonner ou même de discuter avec elle avec ce fichu bâillon dans la bouche. Je suis totalement impuissante. Les caresses se font de plus en plus précises jusqu'au moment où Françoise rentre brutalement une main dans ma culotte et plonge directement 2 de ses doigts à l'intérieur de moi. Nouvelle crise de frayeur. Elle les retire aussitôt en disant à Bea
"-Regarde cette petite chienne, elle pleurniche mais elle est trempée. Elle fait sentir ses doigts à Bea puis les essuie sur ma bouche"
J'ai envie de dire que c'est faut c'est impossible ce n'est pas moi, sauf que je me rends compte qu'effectivement ses doigts sont entre en moi tout seul et que je suis trempée.
"- Enlève-lui cette culotte qu'on voit de quoi il retourne dit Bea en retournant faire des photos."
Il n'en faut pas plus à Françoise pour entailler les élastiques avec les ciseaux puis elle s'amuse à arracher ce qu'il reste de ma culote. Nouveaux sanglot. Je refuse de me montrer nue et avilie comme ça devant elles. Je ne veux pas, mais elles s'en fichent et je n'ai même pas de moyens de le leur dire
"- Ah oui effectivement c'est poilu par ici. Ca fait très années 70. Françoise, surveilla là le temps que je revienne"
Bea sort et je me retrouve seule avec Françoise qui me caresse les seins et le ventre. Bea revient quelques instants plus tard
"- Vue la végétation, j'ai pris le rasoir de Thomas avec la tondeuse. Comme ça on pourra débroussailler avant de la raser."
Je comprends ce qu'elles veulent faire et je recommence a gesticuler.
"-Attend on va la fixer un peu mieux".
Elle sort 2 nouvelles sangles de l'armoire et les passent autour de mes cuisses. Ensuite elle tire la sangle vers l'extérieur pendant que Françoise relâche un peu celle au niveau du pied afin d'ouvrir d'avantage mes cuisses. Elles font pareil de l'autre côté, et je me retrouve les cuisses totalement ouvertes et en plus attachées au lit.
"-Allez au boulot. Vas-y doucement que je puisse immortaliser cette première tonte."
Françoise prend le rasoir, ouvre la tondeuse et commence à la passer sur mon pubis. Je sens que ça pique.
"-Arrête de bouger sinon on va te faire mal."
Devant la menace je me fige et je sens la tondeuse qui passe sur mon bas ventre. Une fois la tondeuse passée, elle commence à passer le rasoir.
"-Hé ! Ne te limite pas à sa toison, regarde en dessous c'est pareil."
Françoise caresse l'entrée de mon sexe avant d'y passer la tondeuse. Là de nouveau j'éclate en sanglots. J'ai honte tellement honte de montrer mon intimité à ces inconnues. Je n'ai jamais vécue une telle humiliation, et même le bizutage de l'école en novembre dernier était une simple plaisanterie par rapport à ce qu'elles sont en train de me faire subir, mais comme depuis le début, mes pleurs ne semblent pas les toucher. Françoise continue de me raser déplaçant mes lèvres pour pouvoir travailler plus facilement, tout ça sous l'objectif de l'appareil photo de Bea.
J'aimerai pouvoir rentrer à l'intérieur du matelas, ou bien me réveiller et me dire que c'était juste un mauvais rêve, mais non, c'est bien réel. Françoise va aussi loin qu'elle le peut vers mon petit trou. Je me contracte mais ma position ne lui permet pas d'aller aussi loin en arrière. Elle s'arrête en demandant à Bea si le résultat la satisfait ?
"- Ouais c'est pas mal pour un début, on affinera plus tard"
Et elles éclatent de rire toutes les deux
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Par lesquatresses le 12 Mars 2018 à 08:26
Bascule - Chapitre 7 - L'entrée de Françoise
Quelques instants plus tard j'entends des pas dans l'escalier. La porte s'ouvre et à ma grande surprise, ce n'est pas Bea mais Françoise qui rentre dans la chambre. Elle arrive en disant
"- Ce n’est pas bientôt fini tout ce chahut par ici", mais quand elle me voit comme ça elle stoppe net.
" -Hé bien ça alors, si je m'attendais à ça "
Je devrais être mal à l'aise de me retrouver dans cette situation en face d'elle, mais même pas, je n'ai qu'une idée en tête, c'est qu'elle me détache avant que Bea revienne et qu'elle lui passe un savon. Sauf qu'au lieu de ça la situation prend une toute autre tournure.
" - He bien je ne pensais pas trouver ça en montant "
Elle s'assied à son tour sur le lit et sans même un regard pour moi, elle pose ses mains sur mes seins. J'essaie de crier et de me débattre, mais en vain
" -On dirait une vraie petite furie. "
Elle passe ses mains dans mon dos et dégrafe rapidement mon soutif. je hurle à nouveau (toujours sans effet à cause du bâillon) et je me met à pleurer, plus par honte que par autre chose. Elle relève mon soutif dévoilant ainsi mes seins et commence à les caresser. Je la supplie intérieurement d'arrêter de ne pas faire ça, que je ne veux pas, mais je ne peux même pas lui dire. Il n'y a que ces « mppfffff » qui sortent de ma bouche. Elle s'arrête lorsque soudain Bea réapparait à l'entrée de la chambre.
" - Qu'est-ce que tu fiches ici ? " dit-elle à Françoise
" - c'est plutôt à moi de te poser la question, non ?
- Rien du tout. C'est moi qui l'ai eue et elle est à moi. C'est moi qui décide pour elle, c'est la règle
- Ah bon, et thomas est au courant ?
- bien sûr que non, ça date de tout à l'heure, Je lui en parlerai ce soir "
Sur le moment je ne saisis pas tout de leur conversation et surtout le fait que ce soit de moi qu'elles parlent comme ça.
" - Bon, et puis ça va pas. Remet lui son soutien gorges et referme lui sa chemise "
Je suis paralysée. Elles font leurs affaires entre elles comme si je n'existais pas. La seule note positive dans tout ça c'est quand Françoise remet en place mon soutif et qu'elle essaye de le raccrocher dans le dos. Je soulève u peu mon dos pour l'aider. Elle rabat ma chemise et commence à remettre les boutons.
Franchement je préférerais qu'elle me détache d'abord. Ca j'arriverai a la remettre toute seule. J'essaie d'attirer son attention avec quelques « mpppffff mmpppfffff » mais elle ne me regarde même pas.
Bea lui dit
" -c'est bon comme ça te fatigue pas "
Qu'est-ce qui est bon comme ça ? De quoi parle-t-elle ?
" -pousse toi un peu t'es dans le champ "
Françoise se lève et là je vois que Bea a installé un appareil photo sur un pied et elle commence à me prendre en photo. Une fois de plus je gigote pour essayer de leur faire comprendre que ça suffit comme ça, mais ça ne semble leur faire aucun effet.
Bea s'approche de moi et commence à re-dégrafer quelques boutons puis elle retourne faire des photos. Maintenant c'est Françoise qui continue de détacher ma chemise pendant que Béa fait des clichés. Au bout de quelques instants, je suis de nouveau la chemise totalement ouverte juste en soutif. Nouvelles photos.
Je pousse un cri quand Françoise tire d'un coup mon soutif vers le bas sans le dégrafer, faisant sortir mes seins par-dessus. Bea rigole en continuant a prendre ses photos et elle lui dit
" -Vas-y tu peux lui enlever maintenant, mais tranquillement. "
Françoise essaye de passer ses mains sous mon dos pour le dégrafer mais je me plaque de toutes mes forces sur le matelas.
" -Petite gourde, tu crois vraiment que c'est en faisant comme ça que tu vas m'empêcher de te le retirer ? "
Elle se lève, va vers l'armoire et revient avec une grande paire de ciseaux. Sans rien me dire elle coupe les deux bretelles du soutif.
Bea immortalise tout ça en rigolant, puis elle le tire un peu plus le soutif vers le bas avant de donner un coup de ciseaux sur le côté puis de tirer un grand coup dessus pour l'enlever entièrement. Par reflexe et par peur je me remets a essayer de protester et de hurler mais toujours sans effet.
" - Regarde-moi ces petits seins. Pas bien gros mais il y a de quoi s'amuser un peu. "
En disant ça elle commence à les caresser et à pincer mes tétons. J'ai encore en tête la douleur de tout à l'heure quand Bea me l'a tordu et je reste pétrifiée sans bouger, les yeux fixant le plafond.
" - Regarde comme elle aime ça cette petite garce, ça pointe fort maintenant. "
J'ai en effet les tétons totalement dressés, J'ai envie de leur dire que c'e n'est pas du tout ce qu'elles croient sauf que je ne peux pas.
" -Bon écoute je vais t'enlever ta chemise, alors si tu ne veux pas qu'elle finisse en confettis comme ton soutien-gorge, laisse toi faire. "
Bea s'approche de ma main gauche et commence à détendre la sangle qui m'attache. A peine a-t-elle commencée que j'essaye de l'agripper d'un coup sec mais mon bras reste bloqué à mi-distance
" -Ah ! Je m'en doutais. Ok tu l'auras voulu".
Elle va vers l'armoire et revient avec deux autres sangles. Elle en attache une au lit puis passe l'autre bout dans ma manche pour aller attacher le mousqueton au bracelet. Une fois fait elle tend la seconde sangle et retire la première.
Elle remonte ma manche le long de mon bras et je me retrouve toujours attachée mais le bras de chemise enlevé. Il ne faut pas longtemps à Françoise pour faire pareil de l'autre côté pendant que Bea refait des photos.
Françoise retire mon second bras de la chemise puis elle la tire sous moi, et quelques instants plus tard je suis avec le torse totalement nu. J'ai honte de moi de me savoir comme ça et je recommence a pleurer
" -Ecoute moi cette chouineuse, et bien qu'est-ce que ça va être tout à l'heure " et elles éclatent de rire toutes les deux
Bea s'est approchée de moi et recommence à me caresser les seins et le ventre. Ses mains s'attardent sur mes tétons, jouant avec puis elle en prend un qu'elle pince fort. La douleur vive me surprend
" -tu vas bientôt aimer ca petite salope "
De son côté Françoise se met à lécher un de mes seins et elle mord l'autre téton puis elle dit a Bea
" -Oh oui elle va aimer ca
-Bon c'est pas tout ça "
En disant ça, Béa descend ses mains sur mon ventre puis vers mon bas ventre. Elle détache rapidement le bouton de la ceinture de mon bermuda. Encore un réflexe de peur et j'essaye de me débattre mais sans grands résultats. Elle baisse le zip de ma braguette puis se lève faire une photo. Françoise prend le relai et essaye de baisser mon bermuda, mais n'y arrive pas beaucoup
" -Zut, avec ses jambes écartées on ira pas beaucoup plus loin. On voit à peine sa culotte
- et bien remonte la un peu "
Françoise tire sur ma culotte pour la faire remonter ce qui a pour effet de provoquer une douleur au niveau de mon sexe, douleur que j'essaie de réprimer par un cri. Elle soulève un peu l'élastique et glisse une main dans ma culotte mais n'arrive pas à aller loin.
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Par lesquatresses le 22 Décembre 2017 à 07:57
Le jour où tout bascula (Part VI) - Tout chavire (suite) !
« -Alors ça va mieux tu es calmée ?
-va te faire foutre connasse, détache moi tout de suite sinon ça va mal aller
- Ecoute, soit tu te calmes, soit je retourne faire ce que j'ai à faire en bas »
Finalement je me décide à la jouer consensuelle...
« -Ok Ok, excuse-moi. Bon s'il te plait, détache moi maintenant, je suis trempée et j'aimerai bien prendre une douche avant qu'on parte
-mais on a tout le temps, ils ne nous attendent pas avant le resto de ce soir, alors pourquoi se dépêcher ?
- Mais on doit rejoindre les filles pour faire des courses ?
- oh tu sais une fois qu'elles seront dans les magasins elles ne penseront plus à nous. »
Bea vient s’asseoir sur le bord du lit
« -bon allez c'est plus drôle maintenant, détache moi
- tu n'as que ce mot là à la bouche toi. Ça ne sert à rien de s'énerver, regarde tu es trempée et tu dégouline de partout
-justement j'aimerai aller me sécher
- oh c'est juste parce que tu es trop couverte avec cette chemise »
A ce moment-là, elle commence à détacher les premiers boutons de ma chemise
« -Hé ! Arrête tes conneries, tu fais quoi là ?
- Ne t’'inquiète pas c'est juste pour que tu ais moins chaud, je t'ai déjà vue en soutif tout à l'heure »
J'essaie de me tortiller pour en espérant l'empêcher de continuer mais sans aucun effet
« -Arrête tu vas avoir encore plus chaud. C'est pour t'aider que je fais ça »
Elle continue de dégrafer les boutons. Là je recommence à gesticuler et à franchement l'insulter sans que cela n'ait d'autre effet que de me refaire transpirer. Elle arrive tranquillement en bas de ma chemise, tire sur le bas pour le faire sortir de mon bermuda en jean et termine de la dégrafer entièrement. Une fois fini, elle l'ouvre en grand faisant largement apparaitre mon soutif
« - hum, ils ont l'air mignons ces petits seins. Pourquoi voulais tu nous les cacher tout à l'heure ? Ce n'est pas très sympa. Regarde Krysten, elle n’a pas hésité elle. »
La je commence à être limite terrorisée. J'ai horreur de ce genre de situation, et je suis tellement stressée que je bafouille des réponses pas toujours très compréhensibles
« -oui mais elle, elle a l'habitude, pas moi
- mais tu verras, l'habitude ça vient progressivement «
J'ai un véritable sursaut lorsqu'elle commence à me caresser les épaules et qu'elle descend ses mains vers mes seins. Elle passe dessus sans trop appuyer et à ce moment-là je me crispe totalement
« -Détends toi, je ne vais pas te manger »
Elle continue vers mon ventre puis remonte doucement. De nouveau je me tends comme la corde d'un arc au moment où elle touche mon soutif. Elle passe les doigts à l'intérieur et vient me toucher le téton
« - Non non, arrête laisse-moi ! »
C'est plus fort que moi, je me mets à hurler. Elle retire sa main et se lève en me disant
« -Pfff tu es fatigante avec tes cris. Quelle brailleuse ! »
Elle se dirige vers l'armoire sur ma droite, ouvre une porte et fouille dedans. Elle revient vers moi tenant quelque chose dans son dos mais je ne vois pas quoi. Elle s'assoie de nouveau sur le bord du lit et me met sous les yeux une petite sangle en cuir avec une boule de mousse rouge. Elle me dit
« -Allez, ouvre la bouche »
Aussitôt je ferme la bouche et je serre les dents. Elle pose la boule sur mes lèvres et me dit
« -Allez ne fait pas l'idiote, ouvre la bouche »
Je serre mes lèvres encore plus fort
« -Ok comme tu veux, mais c'est toi qui l'aura voulu. »
D'une main elle plaque fort la boule sur ma bouche et d'un coup, avec l'autre main, elle attrape un de mes seins au travers du soutif et elle le pince et le tourne violement.
Je pousse un cri de douleur qui me fait ouvrir la bouche et entrer la balle. Je referme la bouche par reflexe mais je ne peux pas.
La balle est rentrée et Bea est déjà en train de passer la sangle autour de ma tête. J'essaie de crier de lui dire de ne pas faire ça , mais il n'y a qu'une sorte de mmmpppffffff qui sort faiblement.
Sous l'effort je commence a manquer d'air. Bea me dit de me calmer et de respirer par le nez si je ne veux pas m'asphyxier. Je fais ce qu'elle dit, et j'arrive de nouveau a respirer
« - Ne bouge pas je reviens tout de suite. »
Je n'ai pas le temps de réagir qu'elle est déjà sortie de la pièce et je me mets à sangloter.
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