• Bascule - Chapitre 8 - Débroussaillage

    Bascule - Chapitre 8 - Débroussaillage

     

    "- Dis-moi, ça semble être la forêt vierge là-dedans. Visiblement son esthéticienne ne doit pas faire beaucoup d'affaires avec elle

    - On va bien voir. Par contre vu comment son bermuda est serré, on ne pourra pas passer de nouvelles sangles dedans comme pour la chemise.

    -et ce serait dommage de couper ce petit short

    - attends on va le faire à l'ancienne"

     

    Elle va une nouvelle fois vers l'armoire et revient vers moi.

    "- Ecoute on va détacher tes jambes une par une et si jamais tu essaies de refaire le coup des bras, je te promets que ça va mal aller. Vas-y détend les sangles sans la détacher complètement juste pour qu'elle puisse plier les jambes."

    Je fais ce qu'elles me disent mais quand Françoise attrape mon bermuda pour le faire glisser c'est plus fort que moi et je me remets à gigoter. Elle tire d'un coup sur les sangles pour les retendre et dans le même temps je ressens une vive douleur au niveau de la poitrine.

    "- Je t'avais prévenue. Bouge encore et le prochain coup sera plus fort et mieux situé."

    Bea à une longue cravache à la main et m’en a donné un coup juste sur le sein. La douleur est encore là et ça me brule mais je ne peux même pas me frotter.

     

     

    "-On recommence mais fais bien attention a toi si tu ne veux pas que je te mette la poitrine en sang."

    Françoise redesserre les sangles et me fait plier les jambes. Je suis tellement terrifiée que je la laisse faire me remettant à sangloter. Je sens le bermuda qui glisse jusqu'à mes pieds

    "- Laisse-lui sa culotte pour le moment"

    Françoise détache le crochet d'un de mes pieds, retire la jambe du bermuda puis remet le crochet. Bea retourne faire des photos pendant que Françoise fait la même chose pour l'autre jambe, puis retend les sangles. Je me retrouve à nouveau totalement écartelée

    "- Tu as vu cette fourrure, dis donc elle ne doit pas avoir froid l’hiver"

    Bea revient et commence à caresser l'intérieur de mes cuisses. Je frissonne de peur quand elle approche de ma culotte, et je la supplie intérieurement de ne pas aller plus loin. Impossible de communiquer ou d'essayer de la raisonner ou même de discuter avec elle avec ce fichu bâillon dans la bouche. Je suis totalement impuissante. Les caresses se font de plus en plus précises jusqu'au moment où Françoise rentre brutalement une main dans ma culotte et plonge directement 2 de ses doigts à l'intérieur de moi. Nouvelle crise de frayeur. Elle les retire aussitôt en disant à Bea

    "-Regarde cette petite chienne, elle pleurniche mais elle est trempée. Elle fait sentir ses doigts à Bea puis les essuie sur ma bouche"

    J'ai envie de dire que c'est faut c'est impossible ce n'est pas moi, sauf que je me rends compte qu'effectivement ses doigts sont entre en moi tout seul et que je suis trempée.

    "- Enlève-lui cette culotte qu'on voit de quoi il retourne dit Bea en retournant faire des photos."

    Il n'en faut pas plus à Françoise pour entailler les élastiques avec les ciseaux puis elle s'amuse à arracher ce qu'il reste de ma culote. Nouveaux sanglot. Je refuse de me montrer nue et avilie comme ça devant elles. Je ne veux pas, mais elles s'en fichent et je n'ai même pas de moyens de le leur dire

     

     

    "- Ah oui effectivement c'est poilu par ici. Ca fait très années 70. Françoise, surveilla là le temps que je revienne"

    Bea sort et je me retrouve seule avec Françoise qui me caresse les seins et le ventre. Bea revient quelques instants plus tard 

    "- Vue la végétation, j'ai pris le rasoir de Thomas avec la tondeuse. Comme ça on pourra débroussailler avant de la raser."

    Je comprends ce qu'elles veulent faire et je recommence a gesticuler.

    "-Attend on va la fixer un peu mieux". 

    Elle sort 2 nouvelles sangles de l'armoire et les passent autour de mes cuisses. Ensuite elle tire la sangle vers l'extérieur pendant que Françoise relâche un peu celle au niveau du pied afin d'ouvrir d'avantage mes cuisses. Elles font pareil de l'autre côté, et je me retrouve les cuisses totalement ouvertes et en plus attachées au lit.

    "-Allez au boulot. Vas-y doucement que je puisse immortaliser cette première tonte."

    Françoise prend le rasoir, ouvre la tondeuse et commence à la passer sur mon pubis. Je sens que ça pique.

    "-Arrête de bouger sinon on va te faire mal."

    Devant la menace je me fige et je sens la tondeuse qui passe sur mon bas ventre. Une fois la tondeuse passée, elle commence à passer le rasoir.

    "-Hé ! Ne te limite pas à sa toison, regarde en dessous c'est pareil."

     

     

    Françoise caresse l'entrée de mon sexe avant d'y passer la tondeuse. Là de nouveau j'éclate en sanglots. J'ai honte tellement honte de montrer mon intimité à ces inconnues. Je n'ai jamais vécue une telle humiliation, et même le bizutage de l'école en novembre dernier était une simple plaisanterie par rapport à ce qu'elles sont en train de me faire subir, mais comme depuis le début, mes pleurs ne semblent pas les toucher. Françoise continue de me raser déplaçant mes lèvres pour pouvoir travailler plus facilement, tout ça sous l'objectif de l'appareil photo de Bea.

    J'aimerai pouvoir rentrer à l'intérieur du matelas, ou bien me réveiller et me dire que c'était juste un mauvais rêve, mais non, c'est bien réel. Françoise va aussi loin qu'elle le peut vers mon petit trou. Je me contracte mais ma position ne lui permet pas d'aller aussi loin en arrière. Elle s'arrête en demandant à Bea si le résultat la satisfait ?

    "- Ouais c'est pas mal pour un début, on affinera plus tard"

     

     

    Et elles éclatent de rire toutes les deux

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