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Par lesquatresses le 24 Mai 2018 à 07:28
Samedi matin. Je suis réveillée de bonne heure malgré le coucher tardif. J'aurais bien été piquer une tête dans la piscine, mais comme Bea m'a interdit de porter un haut de maillot de bain, je n'ose pas. J'enfile un short et une chemise. J'aurais bien mis un jean mais j'ai pensé que les couture des jean pourraient être désagréables quand on ne porte rien dessous.
Je suis dans les premières au petit déjeuner. Seules Françoise et Agnès sont déjà levées. On déjeune ensembles puis lorsque Agnès s'absente quelques instants, Françoise qui est assise a cote de moi me demande de baisser mon short
" - Non mais ca va pas ?
- Béa m'a demandé de vérifier que tu respectais bien ses consignes, alors ouvre baisse ton short que je contrôle, à moins que tu préfères que je lui dise que tu as refusé."Je jette un œil derrière moi. Agnès est toujours dans la cuisine mais ne peut pas nous voir d'ou elle est. Je détache le bouton et je vais pour baisser mon short quand Françoise me le baisse franchement laissant apparaitre ce qu'il reste de mon pubis. Françoise passe une main sur mon sexe poussant ses doigts jusqu'à l’entrée de mes lèvres. .
" - Humm ca semble aller ! »
Elle retire sa main au moment où Agnès revient. J'ai juste le temps de me pencher en avant faisant mine d'essayer d'attraper la confiture pour cacher mon bas ventre. Je remonte discrètement mon jean au moment ou Olaf et Krysten arrivent. 10mn après tout le monde est là.
" - Bon on fait quoi ce matin ?"
Les garçons optent pour aller voir un nouveau magasin de sports de glisse, Claire Krysten et Françoise vont faire des courses, Agnès a des choses à faire, quand à moi, Béa annonce qu'on va faire quelques courses toutes les deux sans même m'avoir demandé mon avis.
Pas question de refuser ou de faire l'étonnée, sinon ça va me retomber dessus. Je remonte dans la chambre pour me laver, et là il y a encore une robe posée sur le lit. Robe d'été simple, à fines bretelles assez courte mais pas pire que les autres, mais beige écru tellement clair qu'elle en est aussi transparente que si elle était blanche et bien sur, aucun sous-vêtements. J'enfile la robe et je rejoins Bea dans la voiture
" - On va où ?
- A mimizan plage.
- Oui mais on va faire quoi ?
- Tu verras bien. Arrête de poser des questions tout le temps. Laisse toi porter un peu je m'occupe de tout.
- Je m'en suis rendu compte"On file a Mimizan et on se rend dans la rue commerçante. Elle me fait entrer dans un magasin d'esthétique. Pendant que j'attends elle discute 5mn avec la patronne, puis elle revient me voir.
" - Voilà, tout est réglé. Elles vont s'occuper de toi, ce sera mieux
- S'occuper de quoi ?
- Tu verras. Je te préviens, tu as intérêt a faire ce qu'elles te diront. Tu ne t'occupe de rien tout est réglé. Je repasserai te chercher plus tard."Sur ce, elle salue la patronne et sort de la boutique.
Je m'assois dans un des fauteuils en attendant qu'on vienne me chercher, vaguement inquiète quand même. Je ne viens jamais dans ce type de boutique alors en plus de l'appréhension de l'inconnue, s'y ajoute le stress de ne pas savoir pourquoi je suis ici. Au bout de 5mn, une jeune femme vient me chercher et me fait entrer dans une cabine. Il y a un grand siège articulé au milieu et des étagères pleines de produits et de matériel tout autour.
Elle me demande d'enlever ma robe, et là gros blanc de ma part
" - Heu, c'est que je n'avais pas prévu...
- C'est la première fois que vous venez ici ?
- Oui
- Ne soyez pas gênée. Moi c'est Valérie, et j'ai l'habitude de m'occuper des touristes pendant la saison; vous n'êtres pas la première à venir sans rien porter sous votre robe
- Mais comment...
- Vous savez dans le métier on a le coup d'œil, même si on ne dit rien. Enlevez votre robe et installez-vous dans le fauteuil."Je retire la robe et je me retourne essayant de cacher mes seins et mon sexe de mes mains. Pendant ce temps, Valérie a mis un voile d'hygiène sur le fauteuil. Je m'installe puis elle fait basculer un peu le fauteuil en arrière et me demande de placer les jambes dans les deux guides de chaque côté. Je la regarde étonnée. Cela va m'obliger à écarter les jambes et lui montrer mon intimité et vu ce qui s'est passé avant-hier, je n'ai pas envie qu'elle me voit dans cet état là. Je n'ai pas envie qu'elle me voit tout court.
" - Détendez vous. Il n'y a que nous deux ici, et je vois d'autres femmes souvent nues aussi toute la journée, alors j'ai l'habitude. Et puis pour vous épiler ce sera quand même plus facile si je peux accéder à la zone, non ? On va commencer par le pubis. C'est la zone la plus sensible, et comme ça la lotion aura le temps de faire effet avant que vous repartiez.
- Pour m'épiler ?
- Oui, c'est bien pour ça que vous êtes ici ?
- Heu... Oui, oui. Désolée mais je ne suis pas vraiment dans mon assiette aujourd'hui. Les restes de la fête d'hier certainement.
- Bon allez placez vous jambes dans les guides et laissez moi faire."Je m'exécute et je me retrouve les cuisses écartées et le sexe présenté. Pour me calmer, je me dis que je suis chez ma gynéco, et que ce n'est qu'un mauvais moment à passer.
" - Et bien dites donc, vous devriez éviter de faire ça toute seule.
- Mais je n'ai... Heu oui, mais j'étais pressée en fait"Je n'ai trouvé que cette excuse là pour ne pas dire que ce n'étais pas moi qui avait fait ca.
" - Oui ben là ca ne va pas être facile parce qu’il y a des zones où les poils sont encore trop courts et d'autres trop longs. Je vais tailler ceux qui sont trop longs et on passera la cire ensuite. On verra ce que ça donne.
- Parce que vous allez le faire à la cire ? "Je suis un peu effrayée, toutes mes copines qui ont testé m'ont dit que ca faisait mal.
"- Oui, vu l'état ce sera le plus simple pour avoir quelque chose d'uniforme. "
Elle sort une sorte de toute petite tondeuse tout plate et elle commence à la passer partout où les poils n'ont pas été coupés. Quand elle s'approche de mon sexe; les vibrations me font de drôles de sensations, mais comme ce n'est pas la zone où il y a le plus de poils longs elle ne s'y attarde pas. Par contre je suis terriblement gênée parce que ces vibrations ont déclenchées un début de sensations agréables et je sens que je commence à mouiller. Pourvu qu'elle ne s'en aperçoive pas.
Une fois la tondeuse passée, elle prépare sa cire et pendant que ca chauffe elle me passe plusieurs produits sur les zones qu'elle va épiler. Les sensations sont étranges. Parfois ca chauffe, parfois c'est comme un glaçon. Ensuite elle passe la cire avec une spatule puis elle place une petite bande dessus et me dit de respirer un grand coup. Lorsqu'elle tire la bande je pousse un petit cri, plus de surprise que de douleur en fait. Ce n’est pas agréable mais pas non plus douloureux.
En quelques minutes, elle a fait toute la zone du pubis. Elle s'attaque maintenant aux cotés des lèvres. Je sens qu'elle a l'habitude car ses doigts se positionnent avec précision sur les zones quelle veut atteindre sans jamais se perdre ailleurs. Là les 4 bandes vont être beaucoup plus douloureuses à arracher. Elle m'explique que c'est parce que sur le pubis elle met une lotion anesthésiante, alors que là avec la proximité des muqueuses elle ne peut pas le faire et elle ajoute en souriant
" -visiblement en plus ça vous fait de l'effet dites donc"
Je passe du rose au rouge écarlate devant cette remarque. Elle s'est rendu compte de mon état. Quelle honte pour moi ! Une fois terminé elle me passe une autre lotion sur toutes les zones ce qui me soulage rapidement de l'effet de brulure que je ressens depuis le début.
Alors que je pensais que c'était terminé, elle me fait lever, change les positions de la table de travail et me demande de me mettre à quatre pattes dessus. Voyant que j'ai l'air de ne pas trop comprendre elle m'explique que c'est la position la plus facile pour épiler l'autre côté
" - Ah parce que vous devez aussi faire l'autre côté
- Pour une intégrale on fait tout, mais si vous ne voulez pas il suffit de le dire
- Heu non non, allez y "Je n'ai pas envie de revenir à la maison avec une épilation qui ne correspondrait pas a ce que souhaitait Bea. Elle serait capable de terminer le travail elle même. Je me met à genoux sur la table et une fois encore elle me fait placer les genoux dans les logements prévus pour ça. Comme il y a un miroir sur le mur du coté, je me retrouve dans une position que j'estime très vulgaire à présenter mes fesses de cette façon là.
J'ai le droit de ce côté là au même traitement que devant même si c'est plus rapide. Elle me demande de descendre puis on passe à un contrôle en règle du reste du corps pour enlever quelques traces sur les cuisses ou les aisselles.
Elle me passe sur tout le corps une nouvelle lotion, puis elle me donne un petit flacon en me disant d'en passer ce soir et demain matin si ca me démange de trop. Après ca devrait redevenir normal, mais de faire attention a ne pas en mettre trop près du vagin car ce n'est pas conseillé. Je remets ma robe et sort de la cabine. A ma grande surprise je retrouve dans la boutique non pas Béa mais Agnès
" - qu'est-ce que tu fais là ?
- C'est Bea qui m'a demandé de t'emmener faire les autres boutiques.
- Quelles autres boutiques
- Tiens elle m'a dit de te donner ça "Et elle me tends une enveloppe...
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Par lesquatresses le 29 Avril 2018 à 19:34
On rentre et alors que je vais monter, Bea m'appelle et me fait venir dans le bureau.
" - Dis moi, tu n'oublie rien ?
- Quoi donc ?
- Je crois que tu as des choses à moi que tu as envie de me rendre.
- Mais tout le monde est dans la maison, je ne peux pas faire comme hier et remonter à poil dans ma chambre.
- Je ne te demande pas si tu veux me rendre mes affaires, je te dis de le faire. Tu tiens absolument à devenir une star du net ?
- Non c'est bon, voilà tes fringues. "
J'enlève la robe, puis le haut et le bas du maillot.
Heureusement la porte du bureau est fermée, mais n'importe qui peut entrer sans prévenir.
" - De toutes façons, il est trop transparent ce maillot, dès que je suis mouillée on voit mes tétons comme si je ne portais rien
- Tu as raison, il ne sert à rien ce haut. Alors voilà ce que tu vas faire, comme je suis dans de bonnes dispositions, je te laisse le bas pour remonter dans ta chambre et faire ce que tu as à faire. Par contre à partir de maintenant, tu as interdiction de mettre un haut quand tu seras en maillot, je suis assez claire ?
- Oui
- Autre chose aussi, tu as interdiction de t'enfermer à clé quand tu es dans une pièce, que ce soit dans ta chambre, dans la salle de bain, ou n'importe où d'autre. Est-ce que c'est clair également ?
- Mais la salle de bain, n'importe qui peut y entrer pendant que...
- Je ne te demande pas ton avis, je te dis juste que c'est comme ça désormais et qu'à la première incartade, les deux premières photos seront publiées. C'est assez clair ?
- Oui c'est clair.
- Tu peux y aller »
Bea me tend le bas de maillot que je me dépêche d'enfiler. Ca circule pas mal dans la maison à cette heure là, du coup j'ouvre la porte et je vérifie qu'il n'y a personne avant de traverser le hall et de monter l'escalier. Par chance je ne croise personne et j'entends juste Krysten sortir d'une pièce au moment où j'arrive à la porte de ma chambre. Je m'engouffre dedans et je referme la porte.
Je sors un TS de mes affaires et je vais dans la salle de bain pour prendre ma douche. La salle de bain est libre. Je rentre et au moment de fermer la porte je me souviens de l'instruction de Bea. Ne pas fermer a clé. Merde , déjà que c'est la maison des courants d'air ici ! Du coup je décide de prendre ma douche en conservant le bas de maillot au cas où quelqu'un entrerait, et j'ai bien fait car Agnès est entrée au moment ou je commençais à me sécher
" - Oups désolée, je ne savais pas que tu étais là "
Je la vois arrêter son regard sur mes seins, et je me couvre aussitôt avec la serviette
" -Oh te bile pas je t'ai vue à la plage, et puis entre filles t'as pas a te planquer. Bon je te laisse je reviendrai plus tard. "
Je termine de me sécher renfile mon tee-shirt et je retourne dans ma chambre. Là je trouve une robe posée sur le lit ainsi qu'une boite et une enveloppe. J'ouvre l'enveloppe, et c'est comme je m'y attendais un mot de Bea, même si il n'est pas signé.
"La robe c'est pour ce soir, juste ça, mais maintenant tu commences à en prendre l'habitude. Dans la boite tu trouveras un objet ainsi qu'une notice. Sur le bureau il y a un caméscope. N'y touche pas il est réglé. Tu auras juste besoin de la télécommande pour le mettre en route. Le reste est dans la notice. Applique toi, mais ne traîne pas, la vidéo doit être terminée avant qu'on parte manger. Tu pourra tout laisser en place quand tu auras terminé"
Il y a effectivement un petit caméscope posé sur un trépied sur le bureau. Je ne l'avais même pas remarqué en entrant. J'ouvre la boite, et j'en sors plusieurs feuilles pliées en deux ainsi qu'un gode, pas spécialement gros mais tellement réaliste qu'on croirait un vrai sexe. Il est dans une matière qui ressemble a de la peau, mais a surtout la forme réelle y compris le prépuce.
Je prends les papiers, et il y a une première page qui ressemble un peu a ces scénarios tirés de jeux de société, expliquant qu'étant élue meilleure actrice de la journée, je dois réaliser un casting en respectant les consignes ci-après. Pour tourner la scène, je dois être torse nu. Le scénario précise que je dois faire une vidéo expliquant comment faire une fellation à un homme et mimer toutes les techniques avec le gode fourni dans la boite. Les informations détaillées sur les pratiques à utiliser sont dans les pages suivantes. Effectivement, les pages suivantes expliquent avec des dessins les différentes façons de faire avec un sexe d'homme.
C'est dégueulasse de me faire faire ça, d'autant que je n'ai jamais aimé sucer même mes copains. Je l'ai fait parce qu’ils me le demandaient, mais j'ai toujours trouvé que c'était un truc pour les amateurs de film X pour exciter les garçons.
Je regarde les explications, détaillées et le pire c'est que c'est tellement clair, qu'on croirait un livret médical. Je prends le gode et j'essaye de le lécher pour voir l'effet que ça fait. La matière est vraiment bizarre. Même en mains on croirait que c'est vraiment de la peau, et dans la bouche c'est encore plus réaliste. Ca me dégoûte, mais je sais que si je ne fais pas ce que Bea me demande elle est capable de poster mes photos sur internet, et je ne vois pas comment l'en empêcher. Du coup, je commence à lire les différentes techniques et façons de faire.
Avant de filmer j'essaye devant le miroir de la commode. J'ai l'impression de voir un mauvais film porno. Ce n'est pas moi dans le reflet. Non c'est une autre mais pas moi. Après plusieurs essais je me met au bureau. Le plan est réglé pour qu'on voit mon torse entier, m'obligeant a laissé mes seins découverts. Comme indiqué je place le texte à lire juste sous la caméra et je commence.
"- Voilà, je m'appelle Vanessa, et aujourd'hui je vais vous expliquer comment bien sucer un garçon."
Je fais un plan par scène comme demandé. Je lèche le gland, je fais tourner ma langue autour, je le suce en aspirant, bref je fais tout ce qui est écrit jusqu'au moment ou je dois le rentrer entièrement dans ma bouche. Vue la longueur c'est impossible. J'essaye plusieurs fois mais systématiquement j'ai un haut le cœur qui manque de me faire vomir lorsque le sexe arrive au niveau de ma gorge. Comme il est précisé que je ne dois pas arrêter l'enregistrement, mes hoquets sont également filmés.
D'un seul coup, quelqu'un frappe à ma porte. Prise de panique je crie "-non non n'entrez pas je ne suis pas habillée" et je balance le gode et la doc sous le lit lorsque la porte s'entre ouvre
Je viens me mettre devant, et je vois Claire qui glisse sa tête.
"- Qu'est-ce que tu fais, on est presque tous prêt, dépêches toi"
Puis me voyant juste en bas de maillot elle ajoute
" -Effectivement, je confirme, tu n'es pas prête
- Bon ben laisse moi que je finisse de me préparer, je vous rejoins dans 5mn "
Je referme la porte et je souffle un grand coup. On n’a pas idée de rentrer dans les chambres comme ça. J'imagine si elle m'avait surprise en train de me filmer en suçant ce sexe... La honte ! Merde, et le caméscope qui a continué de tout filmer. De toutes façons je n'ai ni le temps ni l'envie de faire d'avantage. J'arrête l'enregistrement, et je planque le gode et la doc dans un des tiroirs de la commode.
Je prends la robe que m'a donnée Bea. La salope. Toujours aussi légère, même si celle là est un peu moins courte que celle d'hier, par contre le haut a un dos entièrement nu, ce qui fait qu'il sera impossible de dissimuler le fait que je n'ai pas de soutien gorge.
Je mets le bas du maillot de bain à sécher, je prends mon sac à main et je descends rejoindre les autres.
Pendant le bal après le second feu d'artifice, (il y en avait un le 13 et un autre le 14) deux gars qui avaient un peu trop bu, ont eu les mains largement baladeuses. Il y en a un qui s'est mis juste face à moi pendant que l'autres s'est mis derrière moi et a passé ses deux mains par l'ouverture échancrée du dos de la robe et s'est mis à me peloter les seins. Le temps que je gueule un grand coup, Fabrice, Thomas et Olaf ont éjecté les gugusses de façon un peu... virile !
J'imagine si ils avaient été plus loin et si ils avaient vu que je n'avais aucun dessous ! Sinon, rien de spécial en dehors du fait que j'ai évité les danses trop remuantes, toujours à cause de ma tenue. On est rentrés vers 2h du matin, et pendant qu'on se garait, Bea me dit
" - N'oublie rien avant de monter "
Message reçu.
Pendant que tout le monde rejoint ses pénates, je traine un peu en bas afin d'être certaine qu'il n'y a plus personne qui traine dans les étages puis je file dans le bureau de Bea. J'enlève la robe et la pose sur la chaise, puis j'entrouvre la porte et j'écoute pour voir s’il y a du monde. Pas de bruit. Du coup je monte l'escalier quatre à quatre et je rentre dans ma chambre. Sauvée pour ce soir. Par contre le caméscope et le gode ne sont plus là.
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Par lesquatresses le 29 Avril 2018 à 19:21
Le lendemain matin, j'étais un peu dans le cirage. Je descends dans la cuisine prendre mon petit déjeuner, il n'y avait que Krysten et Agnès de levées.
Je prends mon café sur la terrasse avec elles et quand j'entends Bea arriver, je me lève, fais le tour par le salon, et remonte discrètement dans ma chambre. Là, à ma grande surprise, il y a une tenue de posée sur mon lit. Une robe d'été sans bretelles et un maillot de bain blanc deux pièces.
Ca ne sert à rien que je descende lui dire que je ne veux pas porter cette tenue, je sais comment ça va finir. Du coup, je vais me laver puis en revenant j'enfile ce que Béa m'a donné. Le souci c'est que le maillot est blanc et assez fin, donc si je me baigne, il va devenir transparent, et puis surtout le bas est très échancré et on a retiré la doublure de confort à l'intérieur.
En temps normal je n'aurais pas pu le porter car pas épilée comme il faut, mais avec ce que Bea m'a fait hier, même si ce n’est pas parfait, en tous cas il n'y a rien qui peut dépasser du maillot.
Une fois habillée je descends et je vais sur la terrasse. Il commence à faire bon. Anne et Cédric partent faire des courses, et je profite de l'occasion pour leur demander si je peux aller avec eux. Toutes les sorties sont bonne pour éviter de tomber sur Bea.
Je file prendre mon sac à main en faisant attention de ne pas la rencontrer et je monte dans la voiture. Cédric démarre, Ouf ! Me voilà tranquille pour la matinée. On fait quelques courses, on se ballade un peu et on rentre vers 13h. Le déjeuner est prêt et tout le monde est là. Je vois Bea qui me jette un regard noir mais qui ne me dit rien.
Après le déjeuner, certains proposent d'aller à la plage se baigner et passer l'après midi. Alors que je dis à Agnès que je resterai bien ici à profiter de la piscine je vois Bea qui me fait un discret "non" de la tête. J'ai compris, il faut que je vienne avec eux.
Tout le monde s'éparpille pour aller prendre ses affaires, et je fais de même toujours en essayant d'éviter Bea.
Pour aller à la plage depuis le chalet, on prend un sentier qui passe au bout du jardin, puis qui traverse une grande forêt de pins sur quelques centaines de mètres.
On arrive ensuite dans la zone de dunes qu'il faut traverser, les fameuses dunes avec les naturistes "libertins". Si vous voulez mon avis, c'est un mot poli pour dire obsédés sexuels.
On se trouve un large coin pour faire notre camp de base, et lorsque je retire ma robe pour m'allonger sur ma serviette claire est une nouvelle fois surprise de ma tenue... Minimaliste et presque transparente. Elle m'en fait la remarque ne ratant pas au passage de remarque que rien ne dépasse de l'échancrure du maillot.
Je m'allonge à plat ventre sur la serviette pour me cacher un peu mais il ne faut pas longtemps pour que les autres viennent me chercher pour faire un volley. Tant que je ne me baigne pas, ça va, et heureusement que ma poitrine est assez menue parce que avec ce maillot à chaque pas de course, j'aurais les seins qui sortiraient de tous les côtés sinon.
On se fait donc une partie de volley ou je joue comme une savate, plus attentive a ma tenue qu'au ballon, puis on termine par un bon bain pendant lequel les garçons ont la bonne idée de mettre les filles topless.
Krysten et Bea se laissent faire sans trop résister, Claire leur pose quelques soucis, mais se retrouve rapidement les seins à l'air et j'essaie de profiter du fait qu'ils sont après Agnès pour essayer de me faire oublier en allant nager plus loin (pas question d'envisager sortir de l'eau sans attirer leur attention). Peine perdue. Olaf et Cédric se lancent à ma poursuite et ne mettent pas longtemps à me rattraper et a défaire les nœuds du maillot, ressortant de l'eau en portant victorieusement mon maillot à bout de bras.
Vue l'animation sur la plage je n'ose pas sortir tout de suite. Je fais celle qui continue à nager l'air de rien. Tant que je suis dans l'eau on ne voit pas que je suis nue, mais je suis terriblement mal à l'aise quand même. Finalement c'est Agnès qui va partiellement me sauver. Elle a réussi à récupérer nos deux bas de maillots et me rapporte le mien.
Visiblement, le fait d'être sortie nue de l'eau ne l'a pas dérangé, et là de rester les seins à l'air non plus. Elle nage jusqu'à moi et me donne le maillot. Petit soucis, en me l'enlevant ils ont défait les nœuds sur les côtés et ce n'est pas simple de les refaire quand on est balloté dans les vagues.
Je la remercie. Finalement on n’a pas trop eu le temps de discuter beaucoup hier et avec ce qui m'est arrivé j'étais plutôt déstabilisée.
Elle me demande si ca va. Je lui dis que je n'ai pas l'habitude de me retrouver nue dans l'eau et encore moins d'envisager en sortir les fesses à l'air. Elle rigole et me dit qu'il ne faut pas que je me laisse impressionner. Ici tout le monde a l'habitude de voir des naturistes et personne n'y fait attention et puis qu'avec le style de mon maillot de toute façon il ne fallait pas que je m'attende à pouvoir cacher grand chose. Je me retiens de lui dire que c'est un maillot de Bea… Sauf que moi, si, j'y fais attention...
Bon ce n’est pas tout, mais j'ai à peu près réussi a enfiler le bas, il faudra juste que je refasse les nœuds plus tard, quand au haut il ne faut pas trop que je compte le récupérer. Du coup je sors de l'eau avec Agnès et on file vers nos serviettes.
Je garde mes bras sur ma poitrine, mais en arrivant près du groupe, Claire me lance
" - Fais attention, ils ont tellement peu l'habitude d'être dehors qu'ils vont s'enrhumer" provoquant l'hilarité générale.
Je récupère quand même mon haut de maillot roulé en boule sur la serviette. Agnès qui est allongée à côté de moi me dit
" - J'ai vu que tu te rasais totalement. C'est agréable de sentir l'eau entre ses jambes hein ?"
Un peu gênée, je me met à bafouiller
"- Heu oui, enfin, je sais pas trop...
- Ca fait longtemps que tu te rase ?
- Non c'est la première fois en fait
- Ah bon ? Et tu ne bronze jamais à poil je présume ?
- Non jamais
- Si tu veux essayer demain on va dans un endroit tranquille où il n'y a personne juste toutes les deux. Je connais tous les coins tranquilles
- Heu non je ne crois pas que je pourrais
- Ok mais si tu préfère rester avec les vieux.
- On en reparlera demain."
Sur ce l'après midi se poursuit plutôt calmement jusqu'au moment où tout le mode décide de rentrer prendre les douches au chalet et voir le programme de la soirée.
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Par lesquatresses le 27 Avril 2018 à 10:59
Bea m'appelle.
« -Bon alors tu viens ? »
Je me dépêche de la rejoindre mais je marche en essayant de ne pas faire de grands pas pour éviter que la robe se soulève. Je monte dans la voiture et par réflexe je tire sur le bas de la robe
« - Hé relax il n'y a que nous ici et personne ne sait que tu ne portes pas de culotte.
- Oui mais je n’aime pas ça, ça pourrait se voir et j'aurais l'air de quoi. Et on voit que je n’ai pas de soutif.
- Ca oui, on le voit, mais c'est ça qui est mignon... Pour la culotte, c'est super de savoir que tu n'as rien. Tu vas voir quand tu vas sentir l'air passer entre tes cuisses »
On fait la route jusqu'à Dax et on retrouve toute la bande qui est déjà installée à la terrasse d'un café. Quand on arrive, on se fait chambrer pour notre retard et très vite j'ai le droit à des remarques sur ma tenue... Sexy, coquine, on ne s'attendait pas a ça de toi... Bea vient à mon secours en expliquant que c'est elle qui m'a coachée. Quelle Salope !
Je m'assois sur une des chaises basses, mais je ne sais pas comment me mettre pour ne pas risquer qu'on voit que je ne porte pas de dessous. Finalement les discussions reprennent et on m'oublie un peu. Il n'y a que Thomas qui n'arrête pas de jeter des coups d'œil vers moi ce qui me met mal à l'aise. Est-ce que Bea lui a dit quelque chose ? Pendant qu'on va vers le resto, Claire s'approche de moi et me dit
« - Et bien dis donc, tu es venu chasser les males ? Je ne t'avais jamais vue dans ce genre de tenue.
- C'est Béa qui me l'a prêtée.
- Oui mais de là à ne pas mettre de soutif avec cette robe, tu te dévergonde. »
Je pique un fard immédiatement. Avec l'air j'ai l'impression que mes tétons ressortent de 3cm et qu'on ne voit que ça.
« - Si maman te voyait comme ça elle ferait un infarctus
- Bon ça va, je n’ai pas envie de parler de ça. Est-ce que je te parle du fait que tu as montré tes seins à tout le monde pendant le jeu après déjeuner moi ?
- Ok Ok... »
Le reste de la soirée se passe normalement en dehors de mon impression de malaise d'être dans cette tenue. Pas la moindre allusion a ce qui s'est passé de la part de Bea.
On continue la soirée en allant dans un bar du centre-ville puis on va au feu d'artifice et au bal, mais pour ma part je passe le plus clair de mon temps à rester assise toujours pour me préserver de ce risque de me montrer surtout en dansant.
Vers 3h du matin on rentre au chalet.
Je suis revenue avec Claire et Fabrice pour ne pas avoir a me retrouver encore avec Bea. Quand on arrive au chalet les autres sont déjà là. Je descends de la voiture, je rentre dans l'entrée et là Bea m'appelle. Merde, moi qui cherchait à l'éviter.
Je pense être sauvée par l’arrivée de Claire et Fabrice, mais ils montent directement au premier nous lançant un « bonne nuit » rapide. Bea me fait entrer dans le salon
« -Alors ta soirée s'est bien passée ?
- Pas vraiment non.
- Dommage moi je t'ai trouvée toute en beauté avec ma robe. D'ailleurs, il faudra que tu penses à me la rendre.
- Je monte me changer et je te la redescends tout de suite.
- Non, tu vas me la rendre tout de suite !
- Là maintenant ?
-Oui ! Dépêche-toi je n'ai pas que ça à faire.
- Mais il y a du monde...
- Je compte jusqu'à 3, et après, clic... je publie.
- Non c'est bon je te la rends »
J'enlève la robe, essayant par réflexe de cacher mes seins et mon sexe de mes mains et je la tends à Bea.
« - Bien. Tu peux aller te coucher »
Je ne réponds rien et je monte au premier en essayant de ne pas faire trop de bruit, juste vêtue de mes tongs.
J'écoute surtout pour savoir si quelqu'un est sorti de sa chambre. En plus ma chambre est au second.
Il n'y a pas de bruits, alors je me risque sur le palier et je me mets à courir pour aller au second au moment où j’entends le bruit une porte en haut. Je suis prise d'un petit moment de panique. Si jamais c'est quelqu'un qui veut descendre je n'ai nulle part où me cacher. J'arrête même de respirer puis j'entends une nouvelle porte qui s'ouvre et se referme.
Visiblement quelqu'un sortait de la salle de bain et rentrait dans sa chambre
Je monte doucement, je regarde. Personne!
Je me mets à courir jusqu'à ma chambre, j'entre et je referme vite la porte derrière moi. Je regarde mais il n'y a pas de verrou ni de clé. Je mets la chaise du bureau coincée derrière la porte et je m'assois sur le lit. Là je fonds en larmes.
Mais qu'est-ce qu'il m'arrive. Qu'est-ce que j'ai fait pour mériter ça. Je ne lui ai rien fait à elle. Comment je vais faire d'ici la fin du WE. Impossible de l'éviter tout le temps.Je dois avouer avoir passé une très mauvaise nuit, m'attendant à la voir surgir ou bien Françoise pour me faire remonter dans la chambre du haut.
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Par lesquatresses le 27 Avril 2018 à 09:32
Je prends conscience de la situation et je réalise ce qu'elles viennent de me faire. Je ne dis rien, je prends le petit tas des restes de mes vêtements et je descends à l'étage en dessous dans ma chambre. Je suis encore sous le choc. Je suis tellement dégoutée que je mets mes vêtements, ou du moins ce qu’il en reste, dans la poubelle. Jamais je ne pourrais les reporter
Je prends des affaires propres une serviette et je vais dans la salle de bain. Je prends une douche et j'y reste un temps infini en me frottant comme une folle comme si je pouvais laver tout ce qu'elles m'ont fait subir.Mes seins sont encore douloureux lorsque je passe le simple jet de la douche dessus, mais ce qui me trouble le plus c'est de devoir laver mon sexe rasé. Je ne l'avais jamais vu comme ni même imaginé en fait. Je le lave et le relave pour effacer toute cette substance que j'ai sécrétée contre mon gré. Jamais je n'aurais dû mouiller comme ça, et encore moins avoir deux orgasmes. Mais qu'est-ce qui a bien pu m'arriver.
Je sors de la douche, me sèche, enfile des vêtements propres et je retourne dans ma chambre. Alors que je vais me coiffer je vois une enveloppe posée sur le lit. Mais qu'est-ce qu'elle fait là? Ce n'est pas à moi. Je la prends, regarde dedans et je sors une série de photos.
Ce sont des photos de moi, où on me voit en train de lécher et sucer le gode, en train de me faire prendre... Je pique une colère noire et je sors de la chambre en furie pour aller retrouver Bea puisque ca ne peut que venir d'elle. Je l trouve dans le bureau à son ordi
« -putain mais c'est quoi encore ces conneries, ça ne vous a pas suffi tout à l'heure
- calme toi, c'est juste des photos
- me calmer avec ces merdes, non mais tu me prends pour qui. Je vais les filer aux flics et leur dire ce que vous m'avez fait
- ben voyons... et tu vas leur dire quoi, que ce n'est pas toi en train de sucer ce gode. Regarde bien la photo, on a même l'impression que tu y prends plaisir... Et celle-là, si on ne sait pas que tu étais attachée, on a juste l'impression que tu écartes les jambes, comme une grosse cochonne, ... Alors maintenant tu vas m'écouter. Soit tu fais à la lettre ce que je te dis, soit, à la moindre incartade je publie toutes ces photos sur internet, et crois-moi tu vas vite devenir célèbre
-Mais t'es malade ou quoi, pas question, vous avez déjà...
-Ok tu l'auras voulu, regarde ! »
Sans me laisser finir ma phrase, Béa clique avec sa souris. Je m'approche de l'écran et je vois une photo de moi nue avec le gode dans mon sexe. La photo a été coupée de façon qu'on ne puisse pas voir ma tête, mais je sais que c'est moi.
En quelques secondes les commentaires arrivent en direct. Et franchement ils sont corsés.
« - Ok retire la tout de suite, t'as gagné.
- Ah non tu n'as pas compris. Ta photo elle est sur le net, alors impossible désormais de l'enlever
- mais je ne veux pas qu'on me voit à poil sur internet. Qu'est-ce que les autres vont penser
- Ecoute, sur celle-là, personne ne peux te reconnaitre, mais si tu la ramène encore une fois, je te promets que les suivantes, on verra ton joli minois, et quand ça arrivera dans ton école ou chez tes amis, crois-moi ça fera l'effet d'une bombe. »
Je ne sais plus où je suis. Mes jambes tremblent, j'ai la tête qui tourne. Je ne veux pas qu'on me voit comme ca. C'est humiliant. Même avec la tête masquée
Je suis sûre qu'on peut me reconnaitre.« - Bon maintenant va te préparer on part dans 30mn. Tu as une tenue sur le lit. Met là pour ce soir
- une tenue ?
- Ne pose pas de questions, et fait ce que je te dis, compris ?
- Ou d'accord
- Ah et bien sûr, si tu parles de quoi que ce soit, les photos seront publiées automatiquement...
- Oui Oui j'ai compris. »
Je remonte dans ma chambre, toujours avec mes photos à la main. Je me dis qu'il ne faut pas que quelqu'un les trouve et je les cache dans le fond de ma valise en espérant que personne n'ira fouiner dedans. Je n'ose pas les jeter à la poubelle parce que quelqu'un pourrait tomber dessus.
Sur le lit il y a une petite robe d'été, bleue clair avec de petites fleurs, assez légère, avec de fines bretelles mais qui ne m’arrive même pas à mi cuisses. Si Bea m'a dit de la porter j'ai intérêt à le faire mais ce n'est pas du tout ce que j'ai l'habitude de porter ni même ce que j'aime porter.
Je sors des sous-vêtements propres et j'enfile la robe. Mon impression se confirme, je ne suis pas du tout à l'aise avec ce genre de tenue. Je sors un gilet léger pour mettre dessus, mais pour les jambes je ne peux rien faire. Je prends mon sac et je redescends. Bea est dans la cuisine. Quand je passe elle m'appelle
« - Vanessa, viens me voir »
Je rentre dans la cuisine
« - C'est quoi cette tenue
- ben c'est la robe que tu as mise sur mon lit.
- La robe oui mais le reste
- c'est juste un gilet au cas où j'ai froid ce soir
- Fous toi de ma gueule pendant que tu y es. Je t'ai donnée une robe donc tu ne portes que la robe c'est clair.
- oui c'est clair
- Donne-moi le reste »
J'enlève le gilet et je lui donne
« - J'ai dit donne-moi le reste
- je te l'ai donné
- tu es sure ?
- Oui, je n'ai rien pris d'autre »
Elle s'approche de moi et tire une bretelle de mon soutien-gorge
« -Et ça ?
- C'est mon soutif
- Et je te l'ai donné ?
- Non, c'est un des miens
- Alors enlève-le
-Hein, mais tu ne ... Aïe ! »
Bea vient juste de m'attraper le bout du sein et de le tordre violemment
« - Tu veux vraiment que je publie tes photos ?
- Non non, attends je l'enlève »
Je me tortille pour l'enlever sans enlever la robe
« -Oh tu sais te gêne pas, je sais comment tu es faite maintenant »
Je ne réponds pas à sa remarque et je fini d'enlever le soutif que je lui tends
« - Tu vois quand tu veux... Il faut juste t'expliquer longtemps. Bon allez le reste maintenant
- Tu veux dire ...
- Ta culotte vite »
Comme elle s'approche de moi je lève la robe et fais rapidement glisser ma culotte le long de mes jambes. J'attrape la culotte et je la lui donne
« - Parfait, maintenant on peut y aller »
Je suis pétrifiée sur place. Déjà que cette robe est terriblement courte, mais sans sous-vêtements, tout le monde va le voir. Et je ne parle pas du haut, on voit mes tétons qui pointent sous le tissus léger
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