• Chapitre 2 - arrivée sur la capitale

     

    Donc en prévision de mon arrivée sur Paris pour la poursuite de mes études, j'accepte la proposition d'une copine qui est dans une coloc dans le XVIIème arrondissement dans laquelle une des filles s'en va.

    Je saisi l'occasion d'avoir un hébergement dans Paris, l'idée de m'installer sur St Quentin, même si d'un point de vue logistique était intéressant, risquait de se révéler chiant pour la moindre sortie.

    Je débarque donc sur Paris et dans la coloc fin août 2017. Là je fais connaissance de Laéticia, Valérie et je retrouve Ana (Anabelle) ma cop' de lycée qui elle est déjà la depuis un an.

    Super appart type haussmannien, grandes parties communes deux salles de bain, et une ambiance assez top.

    Laéticia est hôtesse de l'air sur des longs courriers, elle est donc là de façon assez irrégulière. Elle part 3 jours revient 4 jours et ainsi de suite, Valérie est assistante de direction dans une boite de qui fait de la comm' et de l'architecture, et Ana est à Boule (n'y voyez pas de truc cochon, c'est juste une des écoles d'arts les plus connues) pour ses études.

    Je dois avouer que dès les premières semaines ça a été un peu la fête et que je me suis lâchée sur tous les plans (oui y compris celui auquel vous pensez). Même si par principe on ne ramène pas de garçon à la colloc, sauf pour les fêtes communes, pour le reste c'est simple sur paris de se faire des relations.

    Au fil des semaines j'ai pris le rythme. Entre la préparation de la rentrée et les sorties, j'ai pas eu le temps de m'ennuyer, puis avec les cours tout ca s'est un peu densifié.

    Les choses de la vie courante se sont mise en place et dans le même temps je dois avouer avoir eue des envies un peu tordues, vaguement en relation avec mon fantasme dont je vous ai parlé juste avant. 

    En fait j'ai toujours été troublée par les photos de filles attachées écartelées aux 4 coins d'un lit, baillonnées, aveuglée avec un gode introduit en elles. Je n'ai pas d'explication mais ces pensées sont allées en grandissant jusqu'à devenir présentes tous les jours.

    C'était devenu très très fort, et vu que je ne me voyais pas proposer ça aux personnes que je rencontre occasionnellement en soirée, genre "Salut beau blond, ça te dirait de m'emmener chez toi pour m'attacher me baillonner et m'introduire un gode ?", en surfant sur certains forums je me suis dit pourquoi ne pas tester le self bondage juste pour voir quelles sensations ça procure ?

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  • Bonjour,

     

    Vous avez peut-être eu l'occasion de découvrir la première "S" avec le récit de  Vanessa, et bien moi, je suis la 4ème des "4S". Dernière arrivée dans le groupe;, la plus jeune, et du coup la moins expérimentée

    Je m'appelle Leïla, j'ai 20 ans (je suis née en 1998), et par rapport à mes copines, ma découverte de ce milieu risque de vous sembler très amateur !

    C'est vrai que par rapport à elles, je ne suis pas encore totalement rentrée dans une relation construite et durable avec un maître ou une maîtresse pour assurer un apprentissage dans la durée. Trop tôt probablement.

    Pour l'instant je me limite a des occasions et des participations ponctuelles à des soirées, souvent en tant que simple invitée et plus occasionnellement comme participante active.

     

    Sommaire

    Chapitre 1 - Tour d'horizon de la situation

    Chapitre 2 - Arrivée sur la capitale

    Chapitre 3 - De la conception à la réalisation

    Chapitre 4 - Je me lance

    Chapitre 5 - Les effets prévus... et les autres

    Chapitre 6 - Prise la main dans le pot de confiture

    Chapitre 7 - Et après ?

     

     

    Chapitre 1 - Tour d'horizon de la situation

     

    Donc comme j'ai eu l'occasion de vous le dire je m'appelle Leïla. J'ai 20 ans, physiquement assez ordinaire. Je fais 1m74, à peu près 62kg, cheveux mi-longs, châtain clair et les yeux vert/marron. Je suis née à Toulon (dans le var pour ceux qui ne maîtrisent pas leur géographie) et j'habite juste à côté depuis toujours (entre Toulon et Hyères).

    J'ai eu une adolescence assez ordinaire, pas débridée mais pas frustrée non plus. Mes parents m'ont toujours donné une éducation assez libre, et c'est vrai que chez nous le fait de vivre en bord de mer fait qu'on a l'habitude d'être assez peu vêtu sans que ce soit tout de suite considéré comme sexuel. Le topless (voir plus) sur une plage est quelque chose de naturel, et généralement sans arrière-pensée (sauf l'été quand les touristes débarquent).

    Côté sexe, j'ai connu mon premier vrai copain à 17 ans un pote de bahut. On a fait ça chez lui pendant que ses parents étaient en vacances (je vous avais dit que ce serait assez banal). C'est aussi à lui que j'avais fait ma première fellation quelques temps auparavant. 

    Bon depuis je me suis un peu rattrapée. Aucune relation fixe, (ça ne m'intéresse pas) uniquement des "sex friend" au gré des rencontres et des envies.

    Quelques aventures avec des copines aussi, mais c'est resté jusque-là assez occasionnel, souvent après avoir un peu picolé, sachant que j'ai l'alcool assez ravageur (je perds vite mes moyens), la majorité de mes relations restant avec des garçons.

    Du côté des trucs un peu originaux, je pourrais parler :

    - d'une expérience en plein air, sur la plage (normal par ici)... Franchement pas terrible à cause du sable

    - Quelques fellations amusantes dans une voiture (classique), sur le bord d'une piscine (privée) moi dans l'eau et lui assis sur la margelle, et la plus amusante dans un placard !

    - Une aventure avec un copain black. Comme quoi ce n'est pas qu'une légende, c'est tout juste si j'arrivais à faire entrer son sexe dans ma bouche (et pourtant on dit que j'ai une grande gueule...). Le plus gros calibre que j'ai pu avoir pour moi.

    Du côté des fantasme, j'en ai un qui m'a toujours traversé l'esprit et qui est de me réveiller nue, dans un lieu inconnu, potentiellement un peu glauque ou froid, attachée, seule et sans avoir la moindre idée de la façon dont je suis arrivée là ni sans savoir comment je vais faire pour me sortir de cette situation.  C'est pas toujours clair clair écrit comme ça mais dans ma tête ce sont des choses que je projette bien depuis quelques temps déjà (le vrai plaisir des fantasmes).

    Septembre 2016, après un bac avec mention TB, je décide d'intégrer la fac de médecine. Un truc dont j'ai toujours rêvé (la chirurgie). 

    Je m'inscris pour la PACES (la première année commune à toutes les études de santé) à Nice et je termine l'année plutôt dans le haut du classement (plutôt contente).

    Là pour des raisons totalement externes que je ne vais pas développer ici, je suis obligée de monter continuer mes études sur Paris. Pas de places dans Paris, du coup j'accepte une proposition de l'université de St Quentin Versailles.

    Dans le même temps une copine me propose une place dans la coloc où elle est. C'est dans le XVIIème, pas le plus pratique pour rejoindre St Quentin, mais c'est dans Paris et à un prix raisonnable.

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